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ZE LORD OF THE RING
ZE LORD OF THE RING
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Derniers commentaires
6 avril 2013

INDEX DES FILMS CHRONIQUÉS

123
1900
, BERNARDO BERTOLUCCI, 1976.

A
A BITTERSWEET LIFE
, KIM JEE-WOON, 2005.

ANIKI, MON FRERE, TAKESHI KITANO, 2000.

APOCALYPSE NOW, FRANCIS FORD COPPOLA, 1979.

A SCENE AT THE SEA, TAKESHI KITANO, 1991.

RÉÉCRITE! A TOUTE ÉPREUVE, JOHN WOO, 1992 + GALERIE.

B
BAD LIEUTENANT, ABEL FERRARA, 1992.

BEATRICE CENCI - LIENS D'AMOUR ET DE SANG, LUCIO FULCI, 1969.

BRING ME THE HEAD OF ALFREDO GARCIA, SAM PECKINPAH, 1974.

BULLET BALLET, SHINYA TSUKAMOTO, 1997 + GALERIE.

C
CANNIBAL HOLOCAUST
, RUGGERO DEODATO, 1979.

CASINO, MARTIN SCORSESE, 1995.

COMPANEROS, SERGIO CORBUCCI, 1970.

CROSS OF IRON, SAM PECKINPAH, 1977.

D
DARK WATER
, HIDEO NAKATA, 2002.

DEAD MAN'S SHOES, SHANE MEADOWS, 2004.

DIRTY HARRY, DON SIEGEL, 1971.

DOLLS, TAKESHI KITANO, 2002.

E
ENTER THE VOID
, GASPAR NOÉ, 2009.

...ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS, SERGIO LEONE, 1965.

F
FAMILY PORTRAITS, A TRILOGY OF AMERICA
, DOUGLAS BUCK, 2003.

FEMALE YAKUZA TALE, TERUO ISHII, 1973 + GALERIE.

FIGHT CLUB, DAVID FINCHER, 1999.

FULL CONTACT, RINGO LAM, 1993.

G
GRINDHOUSE
, QUENTIN TARANTINO & ROBERT RODRIGUEZ, 2007.

GRIZZLY MAN, WERNER HERZOG, 2005.

H
HANA-BI, TAKESHI KITANO, 1997.

HARRY BROWN, DANIEL BARBER, 2009.

HEAT, MICHAEL MANN, 1995.

HISTOIRES DE CANNIBALES, TSUI HARK, 1980.

I
IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L'OUEST
, SERGIO LEONE, 1968.

IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION, SERGIO LEONE, 1971.

IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE, SERGIO LEONE, 1982.

INFERNO, DARIO ARGENTO, 1980.

INGLORIOUS BASTERDS, QUENTIN TARANTINO, 2009.

IRON MONKEY, YUEN WOO-PING, 1993 + GALERIE.

IRRÉVERSIBLE, GASPAR NOÉ, 2002 + ANALYSE.

J
JU-ON
, TAKASHI SHIMIZU, 2002.

K
...

L
LA COLLINE A DES YEUX 2
, MARTIN WEISZ, 2007.

LADY SNOWBLOOD, TOSHIYA FUJITA, 1973 + GALERIE.

LA MONTAGNE SACRÉE, ALEJANDRO JODOROWSKY, 1973.

LA TRILOGIE DE LA VENGEANCE, PARK CHAN-WOOK, 2002-2004.

L'AU-DELA, LUCIO FULCI, 1981.

LE CHOIX DES ARMES, ALAIN CORNEAU, 1980.

L'ÉCHELLE DE JACOB, ADRIAN LYNE, 1990.

L'ENFER DES ARMES, TSUI HARK, 1980 + GALERIE.

L'EXORCISTE CHINOIS, SAMMO HUNG, 1980 + GALERIE.

LES FRISSONS DE L'ANGOISSE, DARIO ARGENTO, 1975.

LE SYNDICAT DU CRIME 1, 2 & 3, JOHN WOO & TSUI HARK, 1986-1989.

L'ÉVENTREUR DE NEW YORK, LUCIO FULCI, 1982.

M
MEAN STREETS
, MARTIN SCORSESE, 1973.

N
...

O
...

P
PEKING OPERA BLUES
, TSUI HARK, 1986 + GALERIE.

PLAN 9 FROM OUTER SPACE, ED WOOD, 1959.

POSSESSION, ANDRZEJ ZULAWSKI, 1981.

POUR UNE POIGNÉE DE DOLLARS, SERGIO LEONE, 1964.

Q
...

R
REC, JAUME BALAGUERO & PACO PLAZA, 2007.

RESERVOIR DOGS, QUENTIN TARANTINO, 1992.

RING, HIDEO NAKATA, 1998.

ROBOCOP, PAUL VERHOEVEN, 1987.

S
SCHINDLER'S LIST
, STEVEN SPIELBERG, 1993.

SEUL CONTRE TOUS, GASPAR NOÉ, 1998.

SEX AND FURY, NORIFUMI SUZUKI, 1973 + GALERIE.

SHANGHAI BLUES, TSUI HARK, 1984 + GALERIE.

SPL, WILSON YIP, 2005.

STRAW DOGS, SAM PECKINPAH, 1971.

SUSPIRIA, DARIO ARGENTO, 1977 + GALERIE.

SWORDSMAN, CHING SIU-TUNG, TSUI HARK, KING HU, RAYMOND LEE, ANDREW KAM, ANN HUI, 1990 + GALERIE.

SWORDSMAN II, CHING SIU-TUNG, 1992 + GALERIE.

T
TAXI DRIVER
, MARTIN SCORSESE, 1976.

TETSUO, SHINYA TSUKAMOTO, 1989 + GALERIE.

THE BLADE
, TSUI HARK, 1995 + GALERIE.

THE BUTTERFLY MURDERS, TSUI HARK, 1979.

THE GREAT DICTATOR
, CHARLIE CHAPLIN, 1940.

THE GREY, JOE CARNAHAN, 2012.

THE KILLER, JOHN WOO, 1989 + GALERIE.

THE KING OF NEW YORK, ABEL FERRARA, 1990.

THE LOVERS, TSUI HARK, 1994 + GALERIE.

THE WILD BUNCH, SAM PECKINPAH, 1969.

TIME AND TIDE, TSUI HARK, 2000 + GALERIE.

TURKISH STAR WARS, CETIN INANC, 1982.

U
RÉÉCRITE!
UNE BALLE DANS LA TÊTE
, JOHN WOO, 1990 + GALERIE.

UNSTOPPABLE, TONY SCOTT, 2010.

V
VIOLENT COP, TAKESHI KITANO, 1989.

W
...

X
...

Y
...

Z
ZOMBI 2
, LUCIO FULCI, 1979.

autres
MA VIDÉOTHEQUE

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13 mai 2012

JU-ON

jaquette

RÉALISÉ PAR | TAKASHI SHIMIZU.
ÉCRIT PAR | TAKASHI SHIMIZU.
MUSIQUE COMPOSÉE PAR | SHIRO SATO.

MEGUMI OKINA | Rika Nishina.
MISAKI ITÔ | Hitomi Tokunaga.
MISA UEHARA | Izumi Tôyama.

1


Une critique de plus sur ce blog... Seulement, la différence majeure, c'est que cette fois-ci, ce n'est pas moi, Ze Ring, qui écrit, mais Salinui Chueok. La bienvenue à ce nouveau rédacteur sur ce blog, qui, je l'espère, continuera à s'agrandir! -ZE RING-


Pour tout vous dire, je suis un peu un gros fan du cinoche d'horreur Asiat. Bon, surtout les Yurei Eiga, peut-être d/ailleurs parce que ce sont les plus nombreux et que les réals qui ne tombent pas dans les histoires de fantômes de petites filles aux cheveux pas très propres (voire crade, et de préférence très longs) se comptent sur les doigts d/une main. Je pense d/ailleurs surtout à Kiyoshi Kurosawa, prolifique cinéaste venu du Japon et qui s'est désormais payé une bonne réputation dans le domaine du cinéma de genre en alliant deux choses dont la culture nippone est totalement imprégnée, la poésie et la peur. JU-ON, n'en est pas tellement imprégné, mais il serait dommage de dire que le film en est exempt. Premièrement, c'est faux, et deuxièment, même en légère quantité, il y en a, voulue ou non. Avant de m'attaquer plus sérieusement au film qu'est JU-ON, je tiens à faire une petite parenthèse sur la poésie dans le cinéma d'horreur Japonais (vous comprendrez donc son importance dans le film). Ne vous inquiétez pas, ce ne sera pas long, au pire passez directement au troisième paragraphe.

2
Bien que celle-ci soit rarement un élément central du film, elle l'englobe. La poésie a cette capacité de faire contraster peur et réalité de manière à rendre le tout ambigu et glauque. Par son aspect très onirique (rappelons nous la petite fille en parka et cartable dans DARK WATER, d'Hideo Nakata ), elle ajoute un aspect étrange et merveilleux dans l/intimité d/une vie au final extrêmement banale. Nous verrons donc dans énormément de films d'horreur, toujours Japonais, le personnage principal rentrer du boulot, se préparer à manger, prendre sa douche, emmener son enfant à l'école... La poésie se trouve très souvent dans des choses très banales du quotidien, mais elle doit rester quelque chose de fictif (vu qu'on ne la remarque pas, elle n'existe pas) car au final elle l'a toujours été, et c'est cela qui fait peur dans les films d'horreur nippons. La peur de l'inhabituel. Prenez un cartable de petite fille. Jusque-là, tout va bien non? Foutez-le dans un appartement complètement déserté et délabré d'un immeuble. Résultat? C'est étrange, glauque, ça fout mal à l'aise, mais c'est beau, captivant pour l'oeil, et tout cela couplé avec une mise en scène de génie (je n/ai pour l'instant pas vu de films d'horreur japonais dont la mise en scène m'ait rendu complètement indifférent ), vous obtenez un résultat magnifique. Et quand tout ça est sous la direction de réalisateurs tels qu'Hideo Nakata, Takashi Shimizu ou Kiyoshi Kurosawa, vous ne pouvez pas en ressortir indemne. C'est quelque chose qui prend à la gorge. Et de fait je ne peux que vous conseiller DARK WATER d'Hideo Nakata, un véritable chef d'oeuvre qui mêle peur et poésie avec beaucoup de subtilité et SÉANCES de Kiyoshi Kurosawa, qui est sûrement le film d'horreur le plus poétique que j'ai pu voir jusqu'à présent. En les visionnant (le second peut-être difficile à trouver cependant, hormis dans des coffrets), vous aurez une idée de ce que j'ai voulu dire dans ce paragraphe. Merci en tout cas à ceux qui ont lus cette parenthèse, même si j'ose avouer qu'elle est plutôt floue. Bref, on passe quand même à la critique de JU-ON!

3

Takashi Shimizu est un cinéaste très connu au Japon dans le domaine de l'horreur. Il est assez facile de rapprocher le réalisateur d'Hideo Nakata dans le sens où les deux ont LEUR série (RING pour Nakata, THE GRUDGE pour Shimizu). Ils ont tout les deux faits de leur saga de véritables emblèmes du Yurei Eiga, quitte à en faire trop, puis surtout se sont auto-remakés plusieurs fois, mais cela sans jamais ennuyer le spectateur en reproposant la même chose comme avec FUNNY GAMES U.S d'Haneke ( attention je ne critique pas le film, je l'aime bien même ). On sent chez ces deux réalisateurs l'envie de proposer une expérience nouvelle, américanisée et stylisée mais pas trop des sagas qui les ont fait connaître. Nakata s'amusera donc par deux fois avec RING en nous concoctant 2 épisodes avec Naomi Watts (seul le premier de Verbinski vaut le coup d'oeil, c'est un très bon film) dont les différences avec les versions japonaises sont hyper flagrantes (d'ailleurs la version américaine de RING 2 est totalement différente de la version japonaise, et est malgré son niveau plutôt moyen bien meilleure que l'originale), et Shimizu quant à lui s'amusera tout simplement à garder tout les éléments scénaristiques et les personnages de JU-ON, mais en proposant un montage et donc un schéma différent. C'est sympa à voir, pas lassant, bon tous ces remakes ne valent pas leurs versions originales, mais ils ont le mérite de divertir et d'être ouverts à un plus grand public pour ceux que le cinéma japonais n'intéresserait pas (rien que Naomi Watts et Sarah Michelle Gellar, ça attire du monde, hein).

4
Passées les premières mystérieuses secondes se contentant de simples écrits relatant une malédiction qui sévirait dans les endroits où de terribles meurtres blindés de rage jusqu'à la moelle ont eu lieu, le film (et ma critique) commence enfin. Il est intéressant de voir le choix très judicieux qu'a apporté Shimizu au lieu central du film. Effectivement le théâtre des horreurs ne sera rien d/autre qu'une simple mais très belle maison typiquement japonaise, avec son lot de portes coulissantes, d'escaliers à angles à 90°, de silences pesants (eh oui, on n'est pas dans un Ozu), mais surtout de verdures entourant la maison (intelligemment située dans une sorte de ruelle pour éviter tout contact extérieur). Ce sera ce cadre là la véritable poésie qui se dégagera du film, car oui c'est vert, c/est beau et écolo, mais surtout une bonne partie de la maison donne vers le soleil, et est donc constamment baignée d'une lumière pas trop vive mais suffisamment revigorante pour que l'on s'y sente bien, en bonne santé et plein d'entrain. Étrange comme décor de film d'horreur non? On est plutôt habitués à des cavernes, des souterrains, des maisons lugubres, mais surtout 95% du temps un soleil inexistant. C'est donc par ce film plutôt court (environ 1h30) que Shimizu nous donnera une petite leçon de ce qu/est la peur, mais surtout la peur en plein jour...
Le film est dans sa structure assez original. Celui-ci est découpé en plusieurs séquences variant généralement de 10 à 20 minutes chacunes, lesquelles se centrent sur un personnage en particulier, généralement jusqu'à son dernier souffle. Le changement de personnage se fait par le biais d'écrans noirs sur lesquels sont écrits les noms des prochaines victimes. C'est une structure totalement en adéquation avec le reste du film dans cette manière fataliste d'annoncer simplement le nom de la prochaine victime, comme si l'issue, quoi qu'il se passe, était inévitable et condamnait sans espoir de s'en sortir l'innocente victime ayant posée les pieds dans la baraque maudite. Reste à savoir la manière dont elle mourra, mais surtout dans quelles circonstances.
Ce n'est pas la manière de mourir, en soit, qui dérange, car de toute façon la mort n'est jamais montrée (cependant on voit le résultat, héhé, je laisse la surprise) de manière explicite. C'est plus ce qui la précède qui fera qui vous fera suer à vous en coller à votre fauteuil. La démarche du "fantôme tueur" (tro lol koi) est sacadée de sorte à instaurer une véritable sensation de malaise. D'autant que la mise en scène de Shimizu (je retiendrais une scène, bon attention petit spoil : où la caméra suit la démarche du fantôme caché derrière une sorte de cloison, c'est très ingénieux vu qu'on sait que la fantôme est là, mais qu'on ne le voit pas) est vraiment un modèle du genre. Les meurtres sont quasiment toujours commis dans des lieux sombres mais en pleine journée (bon de temps en temps, par exemple pour la soeur, non) et les acteurs miment très bien le malaise, pas comme un certain RING 2 où l'actrice principale en fait des tonnes, par exemple (troll).

5
Ce qui fait au final de JU-ON un bon film (voire un très bon), c'est qu'il réunit tout ce que je considère qu'il faut dans un film d'horreur (enfin presque) : de la peur, une ambiance de folie, un fantôme hyper glauque, de bons acteurs, et une très bonne mise en scène. Le seul point donc que l'on pourra regretter, c'est ce scénario quasiment inexistant (bon il y en a un, mais il est léger, pas du tout passionnant, il est plus là pour dire qu'il est là). Mais il serait dommage de ne faire attention qu"à ça, car niveau ambiance, le film est une véritable réussite. C"est d'ailleurs le critère auquel j'attache personnellement le plus d'importance dans les films de ce genre. Cependant, le film n'est pas excellent non plus, je tiens à le dire, c'est un très bon film de peur, mais objectivement le reste n'est pas si exceptionnel que ça.

SI VOUS AVEZ AIMÉ CE FILM, VOUS AIMEREZ...

  • SÉANCES de Kiyoshi Kurosawa.
  • RING d'Hideo Nakata.
  • JU-ON 2 de Takashi Shimizu
  • LA MORT EN LIGNE de Takashi Miike (d'ailleurs je prèfère celui-ci à JU-ON, super film)

-SALINUI CHUEOK-

6

26 janvier 2011

BASEBALL BAT SAMIR

Bonjour à tous,

Comme promis, aujourd'hui je vais vous présenter ce qui est à ce jour le projet qui me tient le plus à cœur : j'ai nommé Baseball Bat Samir.
Seulement, si ce projet me tient à cœur c'est en grande partie, non seulement parce que j'ai envie de faire du cinéma, mais surtout parce qu'il reprend bon nombre d'éléments de ma vie. Ainsi, je pense qu'on peut vraiment parler d'un projet personnel. C'est principalement du au fait que le personnage principal de l'histoire de Baseball Bat Samir à suivi à peu près le même parcours que moi, évidemment j'ai modifié pas mal de choses, car ce scénario est destiné à un film et non pas à un documentaire et je me permets donc une histoire plus ou moins décomplexée. Pour être clair, j'ai grandi et je vis actuellement dans un quartier ou pas mal d'abrutis se prennent pour Tony Montana, des abrutis que j'ai fréquenté un bout de temps et avec qui je me suis tapé le visionnage de cette bouse de Ma 6-T Va Crack-Er au moins 605 fois, c'est donc très agacé par cette tendance à faire des films sur le quartier pour dire de manière fondamentale que le quartier c'est des gentils et le système il est méchant que je me suis lancé sur Baseball Bat Samir, chronique et portrait d'un ex-taulard revenant au quartier de manière temporaire, le temps de trouver un travail et un appartement en dehors des HLM. Le but de cette chronique n'est clairement pas de faire l'apologie des mentalités pourries qui règnent dans les quartiers défavorisés mais bel et bien de foutre un bon coup de savate dans la gueule des abrutis qui se croient dans le Bronx et qui utilisent le fait que notre système soit pourri pour être encore plus pourri.
Alors voila, la base de Baseball Bat Samir c'est ça, un type qui revient au quartier histoire de recommencer sa vie à zéro mais se rend vite compte qu'il ne peut pas rester sans réagir face à la crasse, la merde et l'aphasie... Alors si le tout fait volontairement penser à Seul contre tous, la deuxième partie de mon scénario vire en Taxi Driver et de manière générale en vigilante movie majoritairement influencé (et je ne m'en cache pas) par le cinoche de Quentin Tarantino et Martin Scorsese, par la violence et le montage si particulier des films de Gaspar Noé et le côté trash et bourrin du Old Boy de Park Chan-Wook.
Enfin voila, après cette petite parenthèse sur les origines de ce projet, voila les deux premières scènes de, je l'espère, mon film. :)

BASEBALL BAT SAMIR

 

SCENE 1

 

-La musique commence d'entrée de jeu : http://www.youtube.com/watch?v=S3CAJ2s2_Lc&feature=related Les passages ou la musique s'excite sont coupés.-

-Plan sur un ciel très gris. Il fait vraiment moche, le ciel est tellement gris que le jour est presque sombre. La caméra descend petit à petit sur un personnage se tenant debout, le dos tourné à un bâtiment gris dans une ville presque dénuée de couleurs. Les gens passent devant ce bâtiment et devant ce personnage en petit nombre, tous vêtus comme s'ils allaient à un enterrement, bref c'est noir et pas très beau et l'intention est ici clairement d'envoyer la sauce d'entrée de jeu et de montrer que ce sera une "oeuvre" (en toute modestie, je prétend clairement pas être un bon scénariste) pessimiste. Ce personnage est vetu de vieilles baskets et d'un vieux jean, d'un vieux bomber tellement pourri qu'on se demande d'ou il l'a sorti. Sa barbe et ses cheveux sont volontairement négligés, et il semble s'adonner régulièrement à la clope puisque le premier truc qu'on le voit faire est sortir un paquet de cigarettes de sa poche et en fumer une, toujours de loin. Petit à petit, la caméra se rapproche de lui pour se focaliser sur son visage, pendant qu'il fume sa clope, regarde sa montre, tape du pied pour se réchauffer, se frotte les mains pour se les rechauffer avant de les remettre dans ses poches... Bref, il s'ennuie et semble attendre quelqu'un. Finalement, il finit sa cigarette. Plan sur le personnage en entier. Il la jette, la musique s'arrête à ce moment-là. Il l'écrase ensuite du pied. Plan de dos : on voit le personnage se mettre à marcher dans la rue, les mains dans les poches de son bombers pourri jusqu'a une cabine téléphonique. Il entre, sort une pièce d'un vieux portefeuille complètement défoncé et l'insère dans le téléphone de la cabine.-

Pensées du personnage : Qui je vais pouvoir appeler pour venir me chercher?

-Après quelques secondes de réflexion, le personnage compose un numéro et attend que son interlocuteur décroche.-

Interlocuteur : Allo?
Personnage :
Abdel, c'est toi?
Abdel :
Ouais... A qui j'ai l'honneur?
Samir :
C'est Samir. Je viens de sortir de prison.
Abdel :
J'avais cru comprendre ça. 11 ans, putain. T'es bien rentré?
Samir :
-il glousse- C'est un peu ça le souci. Personne est venu me chercher. Et je me vois mal faire le trajet sans véhicule.
Abdel :
Merde mec. Je savais pas que tu sortais aujourd'hui, sinon je serai venu te chercher... Ca fait une bonne heure de route jusqu'a Besancon, l'ami, je peux pas t'aider sur ce coup.
Samir :
Arrête tes conneries, vieux, qu'est-ce qui t'en empêche?
Abdel :
J'ai pas deux heures à dépenser à l'instant présent la!!
Samir :
Arrête un peu, mec, deux heures c'est rien et je pense que tu me dois bien ça non?
-Abdel reste silencieux.-
Samir :
Bon allez, dis moi oui ou non mec, reste pas la à rien dire.
Abdel :
Ouais, ok, vas-y je m'occupe de tout. J'arriverai d'ici... D'ici dès que je peux.
Samir :
Merci Abdel, tu me rends un sacré service.

-Samir raccroche. Ensuite il sort de la cabine et va s'asseoir sur le banc qui se trouve à côté. Il regarde sa montre. Pendant que l'on entend ses pensées, on remarque clairement que l'attendre le fait chier.-

Pensées de Samir : Et bin... On peut dire que les choses commencent pas très bien. Ca fait quand même bizarre de voir que personne, de tous mes prétendus êtres chers, aient pris la peine de conduire une petite heure pour venir me chercher après 11 ans d'absence. Enfin, je devrai pas être étonné, les visites n'étant pas ce qui était le plus courant pendant ces 11 années. Et puis l'autre la, avec son baratin... J'ai besoin de quelqu'un pour me déposer du coup je vais rien dire mais je l'attend au tournant le con... Après toutes les fois ou j'ai cassé en deux les types à qui il devait de l'argent, ça me rend dingue qu'il arrive à me refuser ce petit service. C'est pas comme si je lui demandais de sauter d'un pont non plus, je veux dire je lui demande juste de conduire, une heure certes mais qu'est-ce qu'une heure quand il s'agit de revoir un "vieil ami" qu'on a pas vu depuis 11 ans jour pour jour? Enfin s'il me considère encore comme un ami. Je pense que c'est plus le cas de grand monde. La dernière fois que ma mère est venue me voir, c'est pour me dire que j'étais un con et qu'elle me détestait, je pense que c'est assez révélateur de la situation dans laquelle je vais finir une fois que je serai retourné au quartier. J'arrive pas à croire que je retourne une fois de plus dans ce quartier pourri qui à détruit ma vie... J'espère que la situation à évolué la-bas, sinon je risque pas d'y rester longtemps. Je risque surtout de me barrer le plus vite possible... Même si la situation à changé, cela dit. L'odeur de pourri de ces HLM de merde n'est pas une odeur qui s'efface facilement et je n'ai que des mauvais souvenirs la-bas... Tout empeste la-bas... Les gens... La mentalité des gens... Les immeubles dans lesquels ces gens à la mentalité pourrie vivent... Les bancs sur lesquels ces pouilleux squattent 24 heures sur 24... Le shit de ces enculés pue aussi. Le shit pue déja à la base, mais à leur contact son odeur empire. Il y a comme une odeur de fric, de business exclusif à la putain de rue dans leur stupéfiant de merde, une vieille odeur d'arnaque qui serait même évidente à un type sans odorat La rue c'est ça... C'est celui qui pue le plus le vice et la merde qui s'en sort le mieux, car rares sont les mecs de banlieue à utiliser leurs neurones pour mener leurs études à terme... Non pas que j'adhère à l'idée de travailler comme un esclave 20 ans de ta putain de courte vie pour choper un travail, mais entre un prof et un dealer je choisirais le prof sans hésiter une seule seconde. Rien que le fait de penser que j'ai grandi dans la merde entouré par toute une troupe de fils de putes hypocrites et que j'aimais ça me donne envie de gerber. Une chose est sure : ce coin pourri, j'y resterai pas longtemps. Surtout si je dois vivre avec ma conne de mère. Juste le temps pour moi de me trouver un taff et un appartement... Après ils peuvent tous aller se faire foutre, mourir ou bruler vif, c'est pas mon problème. Je veux un changement radical dans la vie pourrie que j'ai eu jusqu'a maintenant et pour ça il ne faudra pas s'éterniser la-bas... Enfin, pour l'instant tout ce que je peux faire, c'est attendre que mon prétendu ami arrive. Une fois que je serai de retour "chez moi", je pourrai réfléchir à ce que je vais faire.

-Ecran noir, synchronisé avec une lourde percussion qui rappelle volontairement beaucoup Seul contre tous.-


 

SCENE 2

-Plan sur la voiture en marche d'Abdel, vue sur le côté. A travers la vitre on peut voir Samir, regarder la route défiler au fur et à mesure que la voiture avance. Ce plan dure quelques secondes. Puis un autre intervient : la caméra se place derrière les sièges d'Abdel et de Samir, ainsi on ne peut que les entendre et aperçevoir brièvement leur visage s'ils tournent la tête.-

Abdel : Qu'est-ce que tu comptes faire?
Samir :
Comment ça ce que je compte faire?
Abdel :
Bin, tu sais bien... Qu'est-ce que tu comptes faire pour faire de l'argent?
Samir :
Je vais faire comme n'importe quel type normal. Je vais chercher un travail.
Abdel :
Quel genre de travail?
Samir :
Le premier que j'ai l'occasion de prendre.
Abdel :
J'ai une occasion pour toi. Tu te rappelles d'Ibrahim?
Samir :
Oui. C'est quoi le rapport?
Abdel :
Il a un... "truc" à vendre. Il offre 25% de la tune au premier qui peut l'aider.
Samir :
Quel genre de "truc"?
-Abdel reste silencieux.-
Samir :
Ecoute, j'sais pas pour toi... Mais moi je sais que dealer, insulter et taper les types que je connais pas et jouer les petits cons je préfère le laisser aux gamins. C'est fini pour moi.
Abdel :
Tu sais que tous les mecs du quartier disent ça quand ils sortent de taule?
Samir :
Ouais.
Abdel :
Tu sais aussi que le lendemain ils sont tous au coin en train de vendre du shit?
Samir :
Mais est-ce que toi tu sais ce que j'ai en tête? Tu sais rien de ce que je vais faire, Abdel.
Abdel :
Mais arrête des conneries, de toutes façons sans le shit impossible que tu fasses suffisamment de tunes pour grailler mec!
Samir :
Tu vis dans un rêve ou bien? L'homme à inventé ce truc... Ca s'appelle un travail... Tu travailles un mois et à la fin t'as un truc appelé "argent"... Et avec cet "argent" tu payes ta bouffe et tes impots!
Abdel :
Attends parce que tu vas me faire croire que toi tu peux trouver un travail?
Samir :
La majorité des gens d'ou on vient trouvent leur travail au quartier... Suffit de connaitre les bonnes personnes... Y a plein de types qui m'engageraient simplement parce que j'en chie. Et au pire, je pourrai toujours taffer dans un restau ou sur un chantier.
Abdel :
Ouais, tu vas travailler deux jours, tu vas en avoir marre et tu te remettras à dealer.
Samir :
Pense ce que tu veux, c'est pas mon problème... Comme on dit, "y a que les cons qui changent pas d'avis". Et j'ai comme l'impression que t'as décidé d'être con.
Abdel :
Espèce de vieux type, faut pas se vexer comme ça! Tiens, un peu de musique pour détendre l'atmosphère.
-Abdel fout une zik de rap.-
Samir :
Vas-y vire moi cette merde! C'est pas de la zik, c'est du bruit, vire-moi ça!
-Abdel arrête la musique.-
Abdel :
T'apprécies plus du Booba?
Samir :
Ca me parait difficile d'apprécier un petit trou du cul issu d'une famille riche qui se prend pour un enfant de la cité, alors qu'il est incapable d'articuler deux mots ou d'écrire un texte et qui se permet encore de péter plus haut que son cul.
Abdel :
Wesh qu'est-ce qui t'arrives, ils t'ont foutu un balai dans le cul en prison?
Samir :
Si tu le dis. J'espère juste pour toi qu'un jour, t'ouvriras tes yeux et que tu te rendes compte que tout ça, votre rap, vos survets Lacoste, vos dégaines et votre "ghetto" ce n'est qu'un tas de merde que vous agrandissez tous les jours avec vos mentalités de petits cons.
Abdel :
Wesh, t'es déprimé? Il t'arrive quoi aujourd'hui? Je mets du putain de rap, tu me casses les couilles pour que je l'enlève, tu supportes plus le quartier, je te propose des coups tu me rembarres coup sur coup, wesh qu'est-ce qui t'arrives t'as la maladie du français ou quoi?
Samir :
La quoi?
Abdel :
La maladie des français. T'agis comme une tapete de gouère!
Samir :
Mais qu'est-ce que c'est que ces conneries? Est-ce que tu te rends compte de la connerie de ce que tu viens de dire?
Abdel :
C'est tous des fils de putes. C'est un fait. Ils nous ont colonisé pendant des années, après ils nous ont envoyé en première ligne pour qu'on se prenne des obus dans la gueule, et après ils ont fini par aller faire la guerre en Algérie et à torturer tout le monde, et maintenant ils font les bons types, je nique tous leurs mères moi!
Samir :
T'oublies une partie de l'histoire, gamin. Les français ont torturé des algériens certes, mais crois pas que les algériens étaient blancs comme neige. Faut arrêter de se poser en victimes et d'utiliser ça comme un prétexte pour faire les cons... Tous les français ne sont pas des batards. J'en connais des très biens et va falloir te rendre compte qu'a un moment donné quand vous faites les fous et que vous cramez des caisses vous passez plus pour des cons qu'autre chose et ça permet de donner bonne conscience aux batards qui nous exploitent. Réfléchis à ça.
Abdel :
Toi t'as passé 11 ans en cellule avec un gouère. Je le sens. T'inquiète pas... On va retourner voir les mecs du quartier. Ca va passer. Tu vas redevenir un vrai arabe des cités.
Samir :
Y a de quoi de si bien à être un "vrai arabe des cités"?
Abdel :
Le respect de tout le monde gros...
Samir :
{il l'interrompt} Tu veux dire la crainte? La crainte que quand t'insultes un type du quartier il revient avec 15 autres tous armés comme s'ils partaient pour la guerre du Vietnam?
Abdel :
Mais y a que comme ça que tu fais comprendre à ces batards de français qu'il faut pas faire les fous!
Samir :
Je me demande... C'est moi qu'a changé ou c'est toi qu'a interverti ta tête et ta queue?
Abdel :
Voila Montbéliard. Je te dépose la. Tu prendras le bus pour rentrer, j'ai des trucs à faire.

-Plan à l'opposé du véhicule. On voit la voiture d'Abdel arriver et se ranger sur le trottoir de l'arrêt de bus. Samir en descend et ferme la porte avant d'aller s'asseoir à l'arrêt de bus. A ce moment-là, la caméra se rapproche alors de Samir, jusqu'a limite le coller. Par chance, un bus passe juste à ce moment-là. Il attend qu'il arrive à son niveau, puis se lève, rentre dans le bus et achète un ticket avant d'aller s'asseoir sur un des sièges du milieu.-

Pensées du personnage : Je méprise les types comme Abdel. C'est un vicieux, un rapace, un opportuniste, un enculé et un raciste. Et d'ou il vient, ils sont tous comme ça. Ca fait flipper, on dirait un syndicat. "La nuit des cons vivants". Ces types la n'ont aucun respect pour personne... Pourquoi faudrait leur en donner? Ils ne connaissent que la crainte, la merde et le fric mal gagné, à tel point qu'ils en redemandent lorsque l'état leur chie à la gueule, en bons pseudo-rebelles qu'ils sont. Et tout ce processus de victimisation est pitoyable. Tout le monde le sait que les cités n'est pas un lieu très propre, mais il le serait sans doute plus si ses habitants n'aimaient pas vivre dans la crasse et s'ils n'avaient pas le cran de s'imposer comme les grandes victimes de ce monde. Ce ne sont que des prétextes pour que ces cons puissent se donner bonne conscience quand ils brulent la voiture d'un pauvre mec qui n'a rien demandé à personne... Et une bonne excuse aux parents quand ils se rendent compte que leur fils deale et fume du shit. Mais y a pas d'excuse pour s'adonner à la facilité. Il est plus simple de se droguer que de combattre la dureté de la vie. Il est plus simple de tout péter que de contrôler les aspects sauvages de l'être humain. Et c'est une des deux choses dont ils ne sont pas conscients... La deuxième étant qu'il y a des gens qui, eux, en sont tout à fait conscients.

Enjoy! (Ou pas!)

-Ze Ring-

5 mai 2011

VOS FILMS PRÉFÉRÉS

Bonjour à tous,
Voila, en attendant la réécriture de ma critique de Dark Water et l'écriture de ma critique de Solitaire et de La horde sauvage, je vais vous soumettre (façon de parler, répondez pas si vous en avez pas envie!) à un sondage, dont le but est comme le titre l'indique de faire découvrir vos films préférés! Bien évidemment, je compte moi aussi me soumettre à ce sondage!! Alors, quels sont vos films préférés?

Pour ma part, les indétronables sont :

1-HANA-BI, Takeshi Kitano, 1997.
2-IЯЯƎVƎЯSIBLƎ, Gaspar Noé, 2002.
3-THE THING, John Carpenter, 1982.
4-LE SEIGNEUR DES ANNEAUX (VERSION LONGUE), Peter Jackson, 2001-2002-2003
5-INGLORIOUS BASTERDS, QUENTIN TARANTINO, 2009

Ensuite viennent (dans un ordre perpétuellement changeant) =

6-HEAT, Michael Mann, 1995.
7-IL ETAIT UNE FOIS EN AMERIQUE, Sergio Leone, 1986.
8-TAXI DRIVER, Martin Scorsese, 1976
9-UNE BALLE DANS LA TÊTE, John Woo, 1990.
10-DARK WATER, Hideo Nakata, 2002.
11-LES CHIENS DE PAILLE, Sam Peckinpah, 1971.
12-L'ARMEE DES OMBRES, Jean-Pierre Melville, 1969.
13-PAT GARRETT ET BILLY LE KID (VERSION REMONTEE DE 2005), Sam Peckinpah, 1973.
14-IMPITOYABLE, Clint Eastwood, 1992.
15-THE BLADE, Tsui Hark, 1995.
16-OLD BOY, Park Chan-Wook, 2003.
17-LES FRISSONS DE L'ANGOISSE (VERSION LONGUE), Dario Argento, 1975.
18-L'IMPASSE, Brian De Palma, 1993.
19-LES PROMESSES DE L'OMBRE, David Cronenberg, 2007.
20-LA LISTE DE SCHINDLER, Steven Spielberg, 1993.
21-FIGHT CLUB, David Fincher, 1999.
22-BLADE RUNNER, Ridley Scott, 1982.
23-THE DEER HUNTER, Michael Cimino, 1978.
24-SEUL CONTRE TOUS, Gaspar Noé, 1998.
25-KILL BILL, Quentin Tarantino, 2003-2004
26-LES SEPT SAMOURAIS, Akira Kurosawa, 1954.
27-PRINCESSE MONONOKE, Hayao Miyazaki, 1997.
28-INCEPTION, Christopher Nolan, 2010.
29-THE SHINING, Stanley Kubrick, 1980.
30-FRAGILE, Jaume Balaguero, 2005.
31-SERIE NOIRE, Alain Corneau, 1979
32-THE KILLER, John Woo, 1989
33-SPL, Wai Shun Yip, 2005
34-ELEPHANT MAN, David Lynch, 1980
35-LA LIGNE ROUGE, Terrence Malick, 1998
36-STARSHIP TROOPERS, Paul Verhoeven, 1997
37-LE CERCLE ROUGE, Jean-Pierre Melville, 1970.
38-MASSACRE A LA TRONCONNEUSE, Tobe Hooper, 1974
39-L'EVENTREUR DE NEW YORK, Lucio Fulci, 1982.
40-BATTLE ROYALE, Kinji Fukasaku, 2000.
41-EDWARD AUX MAINS D'ARGENT, Tim Burton, 1990.
42-DOLLS, Takeshi Kitano, 2002.
43-MORSE, Tomas Alfredson, 2008.
44-ZOMBIE, George A. Romero, 1978.
45-LA DERNIERE TENTATION DU CHRIST, Martin Scorsese, 1988.
46-LES AVENTURES DE JACK BURTON DANS LES GRIFFES DU MANDARIN, John Carpenter, 1986.
47-LA MOUCHE, David Cronenberg, 1986.
48-L'ETRANGE NOEL DE MONSIEUR JACK, Henry Selick, 1993.
49-L'INSPECTEUR HARRY, Don Siegel, 1971.
50-DIE HARD : PIEGE DE CRISTAL, John McTiernan, 1989.



J'attends vos réponses! :)

24 juillet 2011

BASEBALL BAT SAMIR : CHANGEMENT DE DIRECTION

Bonjour à tous,
Je pense que la plupart des lecteurs fidèles à ce blog se rappellent qu'en Janvier, j'avais présenté un de mes projets cinéma : un vigilante movie situé dans la banlieue nommé BASEBALL BAT SAMIR. Pour ceux qui n'étaient pas la à ce moment-là et pour ceux qui découvrent à peine ce blog, BASEBALL BAT SAMIR devait être à la base un vigilante movie à mi-chemin entre SEUL CONTRE TOUS de Gaspar Noé et TAXI DRIVER de Martin Scorsese... Un homme, nommé Samir, sortait de prison et retournait temporairement dans son quartier le temps de trouver un logement et un travail mais le faire s'avère difficile pour lui, il reste dans le quartier plus longtemps que prévu et le tout dégénère lorsqu'il se rend compte qu'il ne peut pas rester dans le quartier défavorisé ou il vit sans réagir à la violence qu'il y règne. Une chronique des banlieues, qui contrairement au film préféré des abrutis qui y vivent, MA 6-T VA CRACK-ER, ne fait pas l'apologie de cette violence et de la mentalité pourrie des gens qui la mettent en pratique, mais au contraire, à plutot pour ambition d'aller contre cette mentalité (qui est de prendre pour prétexte que le système est pourri pour être encore plus pourri.) et de perturber l'idée établie, c'est-a-dire "oulala les pauvres ils sont méchants mais c'est parce que le système est encore plus méchant.".
Aujourd'hui, ce projet prend une direction tout à fait différente... Je pense que c'est en voyant des films qu'on apprend à en faire. Si le propos de mon film sera le même, je compte effectuer des grands changements, notamment au niveau de ma façon de mettre en scène mon histoire (ça ressemblait beaucoup trop à SEUL CONTRE TOUS, c'était simpliste, ça ne me plaisait pas, et entre temps j'ai quand même vu les films de Sam Peckinpah, Shinya Tsukamoto, Takeshi Kitano et Jean-Pierre Melville... De quoi réviser ma notion de mise en scène!) et surtout de ma façon de l'écrire... Les monologues que j'avais développé dans mes premiers essais ne me semblent pas judicieux. SEUL CONTRE TOUS est une influence, dont les monologues font en grande partie la subversion, mais je pense qu'il n'est pas intéréssant d'en reprendre ce qui en fait la force et qu'il y a d'autres façons de créer la subversion...
Ce pourquoi j'ai également apporté de grands changements dans l'histoire de BASEBALL BAT SAMIR.

Désormais, Samir ne sortira pas de prison. Samir à entre 25 et 30 ans, vient de finir des études qui ne l'ont pas mené très loin et vit seul dans son appartement dans le quartier ou vit sa famille, c'est-a-dire ses 2 frères, sa soeur, sa mère et son père qui va pas tarder à se retrouver 6 pieds sous terre. Tout son environnement est violent et vicieux : ses 2 frères trainent avec des gens peu recommandables, sa soeur s'explose le crane avec à peu près toutes les substances illicites qu'elle peut trouver, sa mère ne vaut pas mieux puisqu'elle ne se soucie absolument pas de ses enfants ni de son mari à deux doigts de la mort en raison d'un cancer incurable, quand aux autres fréquentations de Samir, elles ne sont pas nombreuses. Il s'agit des autres jeunes de son quartier, qu'il ne fréquente que parce qu'il n'a pas le choix : il ne prend jamais l'initiative de leur adresser la parole, et lorsque ceux-ci s'adressent à lui, il fait tout pour couper court la discussion... Quand à ses collègues de travail (car précisons-le, Samir travaille dans un magasin de chaussures, un travail qui l'ennuie au possible.), ce sont des connards en puissance qu'il n'apprécie pas (et ces derniers n'apprécient pas Samir non plus.) et sa vie amoureuse est la définition même du néant.
Bref, la vie de Samir est loin d'être heureuse, comme dirait l'autre, "il est atteint de la perversité de l'ambiance dans laquelle il vit." (citation tirée d'un grand classique du polar, devinez lequel! :p ), et ça ne va qu'empirer. Le Samir original était un personnage fort physiquement comme mentalement, sur de lui-même, celui-ci est faible en tous points, il est maigrelet, n'a pas confiance en soit, et le fait qu'il soit l'un des rares à ne pas suivre le mouvement de masse dans son quartier n'arrange pas sa situation. Le Samir original se faisait justicier par choix, par ras-le-bol, celui-ci veut se faire justicier mais à trop peur pour cela et sera donc poussé dans ses plus extremes retranchements avant d'être obligé de le devenir, en effet, une série d'évènements vont le pousser à user de violence la plus extreme, chose qui le répugne profondément... Série d'évènements dont je ne vous dis rien, mais sachez simplement que dans le but de se défendre Samir payera cher de sa poche pour apprendre la boxe... Hé, attendez, qui à dit TOKYO FIST? (Au passage, le fait que Samir se serve désormais de ses poings et non d'une batte signifie évidemment que le titre changera à l'avenir...)

Et oui, car qui dit, changement de direction sur un projet dit aussi nouvelles influences... Car beaucoup de films m'ont bouleversé ces temps-ci et ont changé la vision que je me fais du cinéma... Je me sens donc énormément inspiré par les oeuvres de Gaspar Noé (SEUL CONTRE TOUS et IЯЯƎVƎЯSIBLƎ particulièrement) pour leur violence sans concession et leur subversion, mais également par la fatalité des films de Sam Peckinpah (PAT GARRETT AND BILLY THE KID et LA HORDE SAUVAGE, et CHIENS DE PAILLE également mais pour une autre raison.). Je me sens également énormément sous l'influence des films de David Cronenberg, plus particulièrement de LA MOUCHE et LES PROMESSES DE L'OMBRE, pour leur traitement de la double identité, ou de la transition vers une nouvelle identité dans le cas de LA MOUCHE... Je citais également CHIENS DE PAILLE plus haut, qui rentre selon moi dans cette catégorie puisque la façon qu'a Peckinpah de mettre en scène le passage vers la brutalité et la violence de Dustin Hoffman à été pour moi une véritable baffe dans la gueule, au même titre que le nihilisme des oeuvres de Shinya Tsukamoto (TOKYO FIST, auquel mon mini-script emprunte beaucoup, TETSUO et BULLET BALLET.), qui d'ailleurs, tout comme les oeuvres de Cronenberg, traitent d'une transition des personnages vers une nouvelle façon de vivre, bien qu'elles le fassent différemment... BASEBALL BAT SAMIR sera donc un film (du moins s'il voit le jour, ce qui n'est pas encore sur.) sur le changement d'identité, sur le retour de l'homme à ses aspects les plus sauvages, bien évidemment le but principal reste toujours de coller un taquet aux grands admirateurs de la vie de banlieue et j'espère ne pas perdre de vue cet objectif...

Je n'ai encore rien à vous faire lire, si ce n'est quelques explications sur ce changement de direction soudain... J'attends vos réactions avec impatience, car je prendrai en compte la moindre des critiques... Et au passage, comme je serai absent à partir du 27 jusqu'a mi-aout, il n'y aura certainement pas d'articles quel qu'il soit pendant cette période... Mais je reviendrai, avec plein de critiques pour vous, et sans doute du dialogue pour ce BASEBALL BAT SAMIR... Enfin, ce projet sans nom... Au passage, la moindre suggestion pour le titre sera la bienvenue... ;P


SCENE 1 = Rêve

-Cette scène à non seulement pour but de servir d'introduction violente et puissante au film, mais à un rôle symbolique important bien que très évident : montrer le désir meurtrier au sein du personnage de Samir, désir meurtrier qui se révèle dans ses rêves, car cette scène est un rêve, bien que ce ne soit pas dit explicitement, mais plusieurs éléments permettent de le comprendre : le début de la scène 2, évidemment, mais aussi la violence excessive voire grand-guignolesque et des détails importants, comme le fait que tous les personnages présents dans cette scène en dehors de Samir soient vêtus et coiffés pareil. Je ne suis pas sur de garder cette scène, pour plusieurs raisons. Je tente de construire une tension tout le long de mon histoire, or si je commence celle-ci avec une scène de cette intensité, la prochaine scène sera d'une intensité inférieure et la construction de la tension sera interrompue, deuxio, si le désir meurtrier doit s'installer petit à petit chez Samir jusqu'a une explosion de ce dernier, le rêve est très mal placé et doit plutot se situer plus tard dans l'action, mais, en soit, le désir meurtrier n'est-il pas légèrement en chacun de nous? Samir est un personnage frustré de ne pas pouvoir agir envers ces jeunes de banlieue qu'il déteste et qu'il méprise en raison de sa faible force, physique comme mentale, et de son manque de confiance. Le fait que dans cette scène, Samir défonce une armée de jeunes à l'aide de ses mains, peut souligner également le fait que l'idée d'apprendre la boxe marine depuis quelques temps déja dans son esprit. Quoiqu'il en soit, je vous laisse lire cette scène, très inspirée du TOKYO FIST de Shinya Tsukamoto comme certains pourront le remarquer, et j'attends vos remarques et avis!-

-Ecran noir. On entend un bruit régulier, celui d'un morceau de métal frappant la pierre. Toutes les 5 secondes, ce son se répète. Passées quelques secondes, le premier plan apparait.-

-Ce premier plan est assez simple, la provenance de ce bruit est illustrée : on y voit la main d'un homme, barre de fer a la main, taper l'extrémité de celle-ci sur le béton de la rue ou il se trouve. Un travelling latéral (sur la gauche) commence, après que l'homme ait tapé encore plusieurs fois sa barre sur le béton. Ce travelling permet au spectateur de voir un autre homme, vêtu sensiblement pareil (je tiens à préciser qu'on ne les voit pas entièrement, seulement leurs jambes et leur main droite, c'est une scène assez difficile à décrire.) faire des moulinets avec un petit morceau de bois. Le travelling se poursuit et se fixe sur un autre homme, lui aussi vêtu de la même façon que les deux autres, mais tenant un couteau-papillon dans la main. Il l'ouvre, une musique se lance alors :

http://www.youtube.com/watch?v=FqKO0ihTB6E&feature=related
-00:00 – 00:42-

(Désolé, j'ai pas pu m'empêcher)

Le plan, qui est alors concentré sur le couteau du mec, laisse toutefois entrevoir une silhouette au fond du décor, mais celle-ci est floue. La caméra se concentre alors sur cette silhouette, le couteau devient alors plus flou et on aperçoit clairement Samir, vêtu d'un tee-shirt blanc, à l'autre bout du décor. (J'espère que c'est faisable.)-

-Plan sur le visage visiblement enragé et plein de sueur de Samir. La caméra tourne alors autour de lui pour se mettre derrière sa tête et laisser aperçevoir l'armée de mecs qui cherche très certainement à le taper.-

-Plan sur le visage d'un de ces hommes : lui aussi semble enragé. Ce plan devient un travelling latéral (sur la droite) qui permet le visage de plusieurs de ses compagnons, tous coiffés et habillés de la même façon. -

-Retour sur le plan initial, celui du mec tapant par terre avec sa barre de fer. Il tape encore plusieurs fois, puis au dernier coup qu'il met par terre, la musique s'arrête. Soudainement, l'homme saisit sa barre à deux mains. Le plan est immédiatement coupé pour passer à un autre plan ou on voit cet homme de face, hurlant, tenant sa barre à deux mains au-dessus de sa tête tout en courant pour aller taper sur la tête de Samir.-

-Dès lors que ce plan est coupé, on arrive à un plan qu'il m'est assez difficile de décrire, donc je ne m'offusquerai pas si je suis le seul à le comprendre. :p On voit donc simplement la barre de fer de l'assaillant de Samir, et la caméra suit son mouvement : au fur et a mesure que l'assaillant, et donc son arme, avance, la caméra avance sur le côté en se centrant sur la barre de fer. J'espère que c'est compréhensible.-

-Le plan précédent dure quelques secondes, puis on passe à un autre, furtif, ou l'on voit Samir, immobile depuis le début de la scène, et son assaillant, avancant à toute vitesse pour lui broyer la tête.-

-Passé ce plan très furtif, on passe aux choses sérieuses. C'est grosso modo le même plan que précédemment, mais à une échelle réduite, on voit l'assaillant de Samir, et ce dernier. L'assaillant est tout près, en conséquence, il envoie un coup de barre de gauche à droite à Samir, qui esquive le coup en passant en dessous de la barre de fer.-

-Deux très gros plans très rapides sur le regard des deux personnages. Puis dans un plan similaire au précédent (mais de l'autre côté), Samir envoie une droite dans le nez de son adversaire. Une percussion a la Seul contre tous se fait entendre au moment de l'impact. (Comme celle à 00:44 sur cette vidéo http://www.youtube.com/watch?v=TzbzIa7UVdY&feature=related Une très très violente quoi.)

-Plan très simple : on voit l'adversaire de Samir, de son torse a sa tête, tomber en arrière violemment sur le sol. Une fois que sa chute est terminée, la caméra se rapproche de lui et s'oriente vers le bas afin que l'on puisse le voir. Inutile de dire qu'il a le nez défoncé, ce qui est plus surprenant c'est le volume énorme de sang qui en coule. Malgré tout il se relève, la caméra suit son mouvement afin de garder au maximum son visage ensanglanté dans le champ..-

-Autre plan très simple, et similaire au précédent. On voit Samir s'approcher doucement de la caméra. Puis, au moment ou il va sortir du champ, le plan est coupé et laisse sa place à un autre : on voit les deux personnages de profil. L'adversaire de Samir s'aprrête à lui envoyer un coup de poing, mais il n'a pas le temps, car ce dernier l'attrape par le col de la main gauche et le tue en lui envoyant, non pas un, ni deux, mais 7 à 8 coups de poings dans l'arête du nez, et ce, avant de le laisser tomber comme une merde.-

-Gros plan sur le visage enragé de Samir, qui est maintenant plein de sang. Il regarde en direction du cadavre du mec qu'il vient d'exploser, puis en direction du groupe de jeunes.-
-Gros plan sur le visage d'un de ces jeunes, très court.-

-Ce plan laisse la place a un plan latéral ou l'on voit tous ces jeunes, tous coiffés et vêtus de la même façon, alignés, armés pour la guerre. Tout d'un coup, ils se mettent tous à courir en direction de Samir, une musique commence.-

http://www.youtube.com/watch?v=pAQyFq5Xdo8
-00:56-10:12-
-Plan de haut, on voit les jeunes courir vers Samir, puis petit à petit, l'encercler. La façon dont les jeunes sont disposés ressemble de haut à un ring de boxe.-

-Puis s'enclenche une longue séquence de violence ou Samir va défoncer un a un ses 11 adversaires, le tout en plan-séquence, en effet toute la scène est basée sur un travelling circulaire à l'intérieur du "ring" créé par les jeunes.-

  • Le premier jeune à droit à un traitement de faveur, Samir se contente d'esquiver son coup de couteau, de lui coller deux coups de poings dans le bide et de lui casser la nuque.

  • Ce n'est pas le cas du deuxième, qui, lorsqu'il essaye de frapper Samir avec sa batte, chute par terre et s'éclate le visage sur le goudron. Samir finit de lui éclater en lui envoyant trois coups de savate derrière la tête.

  • Le troisième, lui, parvient à frapper Samir au visage avec son poing, mais lorsqu'il réessaye, Samir attrape son poing, lui fait une clé de bras, le fait se mettre à genoux, et dans un élan de colère, lui envoie un coup de genou derrière la tête. Il le laisse ensuite saigner ce qu'il à saigner sur le goudron.

  • Le quatrième envoie un coup de couteau à Samir, mais Samir pare le coup avant que la lame ne le touche, et se servant la main de son assaillant pour ça, le plante plusieurs fois dans le ventre.

  • Le cinquième est un lache, c'est pour ça qu'il plante Samir dans le dos. Samir tombe à terre, sur le ventre, mais dans une poussée d'adrénaline, il envoie un coup de savate dans la jambe du type qui vient de le planter. Ce dernier tombe violemment, Samir s'en rapproche pour lui éclater le nez à coups de coudes. Puis il se relève.

  • Le sixième, pensant que Samir est foutu, ne fait rien. Il se prend une droite dans la gueule et tombe comme une merde.

  • Le septième semble avoir pris des leçons de judo. Il fait tomber Samir, mais celui-ci l'entraine dans sa chute. L'assaillant est sur Samir, et il ne se gêne pas pour le frapper au visage, mais Samir parvient à prendre le dessus et à le mettre dos à terre. Il lui envoie deux coups de poings, et dans un mouvement complètement surréaliste, lui arrache la machoire.

  • Le huitième n'attend pas que Samir se relève, et lui envoie un coup de barre de fer dans les côtes. Samir lache un cri, roule sur la droite, puis se retrouve à terre sur le dos. Pour s'assurer qu'il en a bien fini avec Samir, le jeune lui renvoie un coup de barre dans le ventre. Samir lache un nouveau cri, mais riposte en envoyant un violent coup de pied dans le genou de son assaillant. Lorsque celui-ci chute, Samir le finit en lui explosant la tête à coups de pieds.

  • Il parvient enfin à se relever. Le neuxième mec l'attaque avec un petit bout de bois. Samir pare le coup, s'empare du bout de bois et le frappe avec. Le bout de bois casse au moment de l'impact. Inutile de dire que le jeune ne se relèvera pas avant un bout de temps.

  • Le dixième attaque Samir avec un marteau. Il esquive les trois premiers coups, puis chope le bras de son attaquant et le lui casse de manière très violente. Il procède ensuite à l'éclatage en règle de sa petite personne en lui enchainant les coups de genoux dans l'épigastre.

  • Le dernier est malchanceux. A peine a t-il le temps d'entrer en scène que Samir le balaye, le fait tomber a terre, s'assied sur lui et lui tape sur la gueule jusqu'a ce que celle-ci ne soit qu'une flaque sanglante. La caméra s'arrête de bouger pendant que Samir bute ce mec la.

-Plan de dessous. On voit Samir, les mains pleines de sang. Puis la musique s'arrête brutalement, le plan est coupé et un autre plan prend sa place, ou l'on voit Samir, dans un lit, se réveiller tout doucement.-

-Voila, c'est tout pour cette scène très excessive mais dont je suis content! Ceci dit elle me pose beaucoup de problèmes : ou la placer? J'attends vos suggestions, je pense que beaucoup seront rebutés par ce texte mais gardez bien en tête le fait que cette scène est un rêve, l'occasion pour moi de faire dans l'excès, cette chose que j'aime tellement... Maintenant, ou la placer? Et j'ai eu également une idée... De mettre cette scène au début, mais de l'altérer pour montrer la défaite de Samir quand il se bat contre le huitième type. Puis, plus tard dans le film, lorsque Samir aura plus confiance en lui et aura appris la boxe, de mettre la scène dans son intégralité. Qu'en pensez-vous?-

-ZE RING-

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5 février 2009

MA VIDÉOTHEQUE

. . . 1, 2, 3 . . .

1900, BERNARDO BERTOLUCCI, 1976 (DVD).

2 SOEURS, KIM JEE-WOON, 2003 (DVD).

2001 : A SPACE ODYSSEY, STANLEY KUBRICK, 1968 (BLU-RAY).

28 DAYS LATER, DANNY BOYLE, 2002 (DVD).

28 WEEKS LATER, JUAN CARLOS FRESNADILLO, 2007 (DVD).

36 QUAI DES ORFEVRES, OLIVIER MARCHAL, 2004 (DVD).

. . . A . . .

 

A CLOCKWORK ORANGE, STANLEY KUBRICK, 1971 (BLU-RAY).

A HISTORY OF VIOLENCE, DAVID CRONENBERG, 2005 (DVD).

A KNIGHT'S TALE, BRIAN HELGELAND, 2001 (DVD).

A SCENE AT THE SEA, TAKESHI KITANO, 1991 (DVD).

A SERIOUS MAN, JOEL & ETHAN COEN, 2009 (BLU-RAY).

A TOUCH OF ZEN, KING HU, 1969 (DVD).

A TOUTE ÉPREUVE, JOHN WOO, 1992 (DVD).

ADVENTURE OF DENCHU KOZO, SHINYA TSUKAMOTO, 1987 (DVD).

ADVENTURELAND, GREG MOTTOLA, 2009 (DVD).

AENIGMA, LUCIO FULCI, 1987 (DVD).

AGUIRRE, LA COLERE DE DIEU, WERNER HERZOG, 1972 (DVD).

AKIRA, KATSUHIRO OTOMO, 1988 (DVD).

ALICE DOESN'T LIVE HERE ANYMORE, MARTIN SCORSESE, 1974 (DVD).

ALIEN, RIDLEY SCOTT, 1979 (DVD).

ALIENS, JAMES CAMERON, 1986 (DVD).

ALIEN 3, DAVID FINCHER, 1992 (DVD).

ALIEN : RESURRECTION, JEAN-PIERRE JEUNET, 1997 (DVD).

ALL THE PRESIDENT'S MEN, ALAN PAKULA, 1974 (DVD).

AMARCORD, FEDERICO FELLINI, 1973 (DVD).

AMELIA AND THE ANGEL, KEN RUSSELL, 1959 (DVD).

ANGEL HEART, ALAN PARKER, 1987 (BLU-RAY).

ANIKI, MON FRERE, TAKESHI KITANO, 2000 (DVD).

APOCALYPSE NOW, FRANCIS FORD COPPOLA, 1979 (BLU-RAY).

APOCALYPTO, MEL GIBSON, 2006 (DVD).

ARRIVEDERCI AMORE, CIAO, MICHELE SOAVI, 2006 (DVD).

ASSAULT ON PRECINCT 13, JOHN CARPENTER, 1976 (DVD).

AVATAR, JAMES CAMERON, 2009 (BLU-RAY).

AVIATOR, MARTIN SCORSESE, 2004 (DVD).

AVERE VENT'ANNI, FERNANDO DI LEO, 1978 (DVD).

A BOUT PORTANT, FRED CAVAYÉ, 2010 (BLU-RAY).

AEON FLUX, KARYN KUSAMA, 2005 (DVD).

AWAKENINGS, PENNY MARSHALL, 1990 (DVD).

 

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BABY CART 1 : LE SABRE DE LA VENGEANCE, KENJI MISUMI, 1972 (DVD).

 BABY CART 2 : L'ENFANT MASSACRE, KENJI MISUMI, 1972 (DVD).

 BABY CART 3 : DANS LA TERRE DE L'OMBRE, KENJI MISUMI, 1972 (DVD).

 BABY CART 4 : L'ÂME D'UN PERE, LE COEUR D'UN FILS, BUICHI SAITO, 1972 (DVD).

 BABY CART 5 : LE TERRITOIRE DES DÉMONS, KENJI MISUMI, 1973 (DVD).

 BABY CART 6 : LE PARADIS BLANC DE L'ENFER, YOSHIYOKI KURODA, 1974 (DVD).

 BACK TO THE FUTURE, ROBERT ZEMECKIS, 1985 (DVD).

BACK TO THE FUTURE II, ROBERT ZEMECKIS, 1989 (DVD).

BACK TO THE FUTURE III, ROBERT ZEMECKIS, 1990 (DVD).

BAD LIEUTENANT, ABEL FERRARA, 1992 (DVD).

 BAD LIEUTENANT : PORT OF CALL - NEW ORLEANS, WERNER HERZOG, 2009 (BLU-RAY).

 BAD TASTE, PETER JACKSON, 1987 (DVD).

 BALLAD OF CABLE HOGUE, SAM PECKINPAH, 1970 (DVD).

BARAKA, RON FRICKE, 1992 (BLU-RAY).

BARRY LYNDON, STANLEY KUBRICK, 1975 (BLU-RAY).

BARTON FINK, JOEL & ETHAN COEN, 1991 (BLU-RAY).

BASIC INSTINCT, PAUL VERHOEVEN, 1992 (DVD).

BATMAN, TIM BURTON, 1989 (DVD).

BATMAN RETURNS, TIM BURTON, 1992 (DVD).

BATMAN BEGINS, CHRISTOPHER NOLAN, 2005 (BLU-RAY).

BATTLE ROYALE, KINJI FUKASAKU, 2000 (DVD).

BEETLEJUICE, TIM BURTON, 1988 (DVD).

BIG RACKET, ENZO G. CASTELLARI, 1976 (DVD).

 BIG TROUBLE IN LITTLE CHINA, JOHN CARPENTER, 1986 (DVD).

BLACK BOOK, PAUL VERHOEVEN, 2006 (BLU-RAY).

BLACK MASK, DANIEL LEE, 1996 (DVD).

BLADE RUNNER, RIDLEY SCOTT, 1982 (DVD).

 BLAZING SADDLES, MEL BROOKS, 1974 (DVD).

BLOOD DIAMOND, EDWARD ZWICK, 2006 (DVD).

BLOODY BIRD, MICHELE SOAVI, 1987 (DVD).

BLOW OUT, BRIAN DE PALMA, 1981 (DVD).

BLUE STEEL, KATHRYN BIGELOW, 1989 (DVD).

 BLUE VELVET, DAVID LYNCH, 1986 (DVD).

BOB LE FLAMBEUR, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1956 (DVD).

BONS BAISERS DE PÉKIN, STEPHEN CHOW & LIK-CHI LEE, 1994 (DVD).

BOOGIE NIGHTS, PAUL THOMAS ANDERSON, 1997 (BLU-RAY).

BRAINDEAD, PETER JACKSON, 1992 (DVD).

 BRAVEHEART, MEL GIBSON, 1995 (DVD).

BRAZIL, TERRY GILLIAM, 1985 (BLU-RAY).

BREAKFAST CLUB, JOHN HUGUES, 1985 (DVD).

BREEZY, CLINT EASTWOOD, 1973 (DVD).

 BRINGING OUT THE DEAD, MARTIN SCORSESE, 1999 (DVD).

BRING ME THE HEAD OF ALFREDO GARCIA, SAM PECKINPAH, 1974 (DVD).

 BUBBA HO-TEP, DON COSCARELLI, 2002 (DVD).

BULLET BALLET, SHINYA TSUKAMOTO, 1997 (DVD).

BURN AFTER READING, JOEL & ETHAN COEN, 2008 (BLU-RAY).

 . . . C . . .

 CANDYMAN, BERNARD ROSE, 1990 (DVD).

CANNIBAL HOLOCAUST, RUGGERO DEODATO, 1980 (DVD).

CARLITO'S WAY, BRIAN DE PALMA, 1993 (BLU-RAY).

CARNE, GASPAR NOÉ, 1991 (DVD).

CASABLANCA, MICHAEL CURTIZ, 1942 (DVD).

CASINO, MARTIN SCORSESE, 1995 (DVD).

CATCH ME IF YOU CAN, STEVEN SPIELBERG, 2003 (DVD).

CHANGELING, CLINT EASTWOOD, 2008 (BLU-RAY).

CHARLEY VARRICK, DON SIEGEL, 1973 (DVD).

CHILDREN OF MEN, ALFONSO CUARON, 2006 (DVD).

CHINATOWN, ROMAN POLANSKI, 1974 (DVD).

 CHRISTINE, JOHN CARPENTER, 1983 (DVD).

CINEMA PARADISO, GIUSEPPE TORNARE, 1988 (DVD).

CITIZEN KANE, ORSON WELLES, 1942 (DVD).

CLAWS OF STEEL, JING WONG, 1993 (DVD).

CLOCLO, FLORENT EMILIO-SIRI, 2012 (BLU-RAY).

CLOSE ENCOUNTERS OF THE 3RD KIND, STEVEN SPIELBERG, 1978 (DVD).

COBRA VERDE, WERNER HERZOG, 1987 (DVD).

COLLATERAL, MICHAEL MANN, 2004 (DVD).

COMMANDO, MARK L. LESTER, 1985 (BLU-RAY).

COMPANEROS, SERGIO CORBUCCI, 1970 (DVD).

COOGAN'S BLUFF, DON SIEGEL, 1968 (DVD).

 COP, JAMES B. HARRIS, 1988 (DVD).

CRAZY KUNG-FU, STEPHEN CHOW, 2004 (BLU-RAY).

CRIMSON TIDE, TONY SCOTT, 1995 (BLU-RAY).

CROSS OF IRON, SAM PECKINPAH, 1977 (BLU-RAY).

CROSSFIRE, EDWARD DMYTRYCK, 1947 (DVD).

CRYING FIST, RYU SEUNG-WAN, 2005 (DVD).

 . . . D . . .

DANS LA NUIT DES TEMPS, TSUI HARK, 1995 (DVD).

DARK CRYSTAL, FRANK OZ & JIM HENSON, 1982 (DVD).

DARK WATER, HIDEO NAKATA, 2002 (DVD).

DAWN OF THE DEAD, GEORGE A. ROMERO, 1978 (DVD).

DAY OF THE DEAD, GEORGE A. ROMERO, 1985 (DVD).

DÉJA VU, TONY SCOTT, 2006 (DVD).

DÉMONS, LAMBERTO BAVA, 1985 (DVD).

DEAD MAN'S SHOEs, SHANE MEADOWS, 2005 (DVD).

DEAD SILENCE, JAMES WAN, 2007 (BLU-RAY).

DEAD ZONE, DAVID CRONENBERG, 1983 (DVD).

DEATH PROOF, QUENTIN TARANTINO, 2007 (DVD).

DESERT MOON, SHINJI AOYAMA, 2001 (DVD).

DETECTIVE DEE, TSUI HARK, 2010 (BLU-RAY).

DIE HARD, JOHN McTIERNAN, 1989 (DVD).

DIE HARD 2, RENNY HARLIN, 1990 (DVD).

DIE HARD WITH A VENGEANCE, JOHN McTIERNAN, 1995 (DVD).

DIRTY HARRY, DON SIEGEL, 1971 (DVD).

DISTRICT 9, NEILL BLOMKAMP, 2009 (DVD).

DJANGO, SERGIO CORBUCCI, 1966 (DVD).

DOLLS, TAKESHI KITANO, 2002 (DVD).

DOMINO, TONY SCOTT, 2005 (DVD).

DON'T LOOK NOW, NICOLAS ROEG, 1973 (DVD).

DOUBLE INDEMNITY, BILLY WILDER, 1944 (DVD).

DR. STRANGELOVE, OR HOW I LEARNED TO STOP WORRYING AND LOVE THE BOMB, STANLEY KUBRICK, 1964 (BLU-RAY).

DR. WAI, CHING SIU-TUNG, 1996 (DVD).

DRAGON TIGER GATE, WILSON YIP, 2005 (DVD).

DRAGONS FOREVER, SAMMO HUNG, 1988 (DVD).

DREAM HOME, PANG HO-CHEUNG, 2010 (BLU-RAY).

DRILLER KILLER, ABEL FERRARA, 1979 (DVD).

DRIVE, NICOLAS WINDING REFN, 2011 (BLU-RAY).

DRUNKEN MASTER II, LIU CHIA-LIANG, 1994 (BLU-RAY).

DUEL TO THE DEATH, CHING SIU-TUNG, 1983 (DVD).

DUNE, DAVID LYNCH, 1984 (BLU-RAY).

. . . E . . .

EASTERN PROMISES, DAVID CRONENBERG, 2007 (DVD).

EDWARD SCISSORHANDS, TIM BURTON, 1990 (DVD).

 EL TOPO, ALEJANDRO JODOROWSKY, 1971 (DVD).

ELEPHANT MAN, DAVID LYNCH, 1980 (DVD).

ELLE S'APPELAIT SCORPION, SHUNYA ITO, 1972 (DVD).

EMPIRE OF THE SUN, STEVEN SPIELBERG, 1987 (DVD).

 ENNEMIS INTIMES, WERNER HERZOG, 1999 (DVD).

ENTER THE VOID, GASPAR NOÉ, 2009 (DVD).

ENTRE LE CIEL ET L'ENFER, AKIRA KUROSAWA, 1963 (DVD).

ERASERHEAD, DAVID LYNCH, 1977 (DVD).

ESCAPE FROM ALCATRAZ, DON SIEGEL, 1979 (DVD).

ESCAPE FROM NEW YORK, JOHN CARPENTER, 1981 (BLU-RAY).

 ET POUR QUELQUES DOLLARS DE PLUS, SERGIO LEONE, 1964 (DVD).

EURÊKA, SHINJI AOYAMA, 2000 (DVD).

EVIL ALIENS, JAKE WEST, 2005 (DVD).

EVIL DEAD, SAM RAIMI, 1982 (BLU-RAY).

EVIL DEAD II, SAM RAIMI, 1987 (BLU-RAY).

 eXistenZ, DAVID CRONENBERG, 1999 (DVD).

EYES WIDE SHUT, STANLEY KUBRICK, 1999 (BLU-RAY).

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 FACE/OFF, JOHN WOO, 1997 (DVD).

FAMILY PLOT, ALFRED HITCHCOCK, 1976 (DVD).

 FANDO Y LIS, ALEJANDRO JODOROWSKY, 1968 (DVD).

FATA MORGANA, WERNER HERZOG, 1971 (DVD).

FEAR AND LOATHING IN LAS VEGAS, TERRY GILLIAM, 1998 (DVD).

FEMALE YAKUZA TALE, TERUO ISHII, 1973 (DVD).

 FIGHT CLUB, DAVID FINCHER, 1999 (DVD).

FIRST BLOOD, TED KOTCHEFF, 1982 (DVD).

FITZCARRALDO, WERNER HERZOG, 1982 (DVD).

FIST OF LEGEND, GORDON CHAN, 1993 (DVD).

FLYING SWORDS OF DRAGON GATE, TSUI HARK, 2010 (BLU-RAY).

FORGETTING SARAH MARSHALL, NICHOLAS STOLLER, 2008 (DVD).

FRAGILE, JAUME BALAGUERO, 2005 (DVD).

 FRANKENHOOKER, FRANK HENENLOTTER, 1990 (DVD).

FRAYEURS, LUCIO FULCI, 1980 (DVD).

FRENZY, ALFRED HITCHCOCK, 1972 (DVD).

FROM DUSK TILL DAWN, ROBERT RODRIGUEZ, 1996 (DVD).

FRONTIERES, XAVIER GENS, 2007 (DVD).

 FULL CONTACT, RINGO LAM, 1993 (DVD).

FULL METAL JACKET, STANLEY KUBRICK, 1987 (BLU-RAY).

FURYO, NAGISA OSHIMA, 1983 (DVD).

 . . . G . . .

 GANGS OF NEW YORK, MARTIN SCORSESE, 2003 (BLU-RAY).

GETTING ANY?, TAKESHI KITANO, 1995 (DVD).

GHOST IN THE SHELL, MAMORU OSHII, 1995 (DVD).

GHOST IN THE SHELL 2 : INNOCENCE, MAMORU OSHII, 2004 (BLU-RAY).

GHOST IN THE SHELL 2.0, MAMORU OSHII, 2008 (BLU-RAY).

GLADIATOR, RIDLEY SCOTT, 2000 (DVD).

GOODFELLAS, MARTIN SCORSESE, 1990 (BLU-RAY).

GREMLINS, JOE DANTE, 1984 (DVD).

 . . . H . . .

HALLOWEEN, JOHN CARPENTER, 1978 (DVD).

HANA-BI, TAKESHI KITANO, 1997 (DVD).

HANG 'EM HIGH, TED POST, 1968 (DVD).

HANZO THE RAZOR - SWORD OF JUSTICE, KENJI MISUMI, 1972 (DVD).

HANZO THE RAZOR - L'ENFER DES SUPPLICES, YASUZO MASUMURA, 1973 (DVD).

HANZO THE RAZOR - LA CHAIR ET L'OR, YOSHIO INOUE, 1974 (DVD).

HARAKIRI, MASAKI KOBAYASHI, 1962 (BLU-RAY).

HARD TIMES, WALTER HILL, 1975 (DVD).

HARDWARE, RICHARD STANLEY, 1990 (DVD).

HARRY BROWN, DANIEL BARBER, 2009 (DVD).

HAUTE TENSION, ALEXANDRE AJA, 2003 (DVD).

HEARTBREAK RIDGE, CLINT EASTWOOD, 1986 (DVD).

HEARTLESS, PHILIP RIDLEY, 2009 (BLU-RAY).

HEARTS OF DARKNESS, A FILMMAKER'S APOCALYPSE, FAX BAHR, GEORGE HICKENLOOPER & ELEANOR COPPOLA, 1991 (BLU-RAY).

HEAT, MICHAEL MANN, 1995 (BLU-RAY).

HELLBOY, GUILLERMO DEL TORO, 2004 (DVD).

HELLBOY II : THE GOLDEN ARMY, GUILLERMO DEL TORO, 2008 (DVD).

HENRY : PORTRAIT OF A SERIAL KILLER, JOHN McNAUGHTON, 1986 (DVD).

HIGH NOON, FRED ZINNEMAN, 1952 (DVD).

HIGH PLAINS DRIFTER, CLINT EASTWOOD, 1973 (DVD).

HIRUKO THE GOBLIN, SHINYA TSUKAMOTO, 1991 (DVD).

HISTOIRES DE CANNIBALES, TSUI HARK, 1980 (DVD).

HITCH HIKE, PASQUALE FESTA CAMPANILE, 1977 (DVD).

HOSTAGE, FLORENT EMILIO-SIRI, 2005 (DVD).

HOSTEL, ELI ROTH, 2005 (DVD).

HOSTEL : PART II, ELI ROTH, 2007 (DVD).

HOT FUZZ, EDGAR WRIGHT, 2007 (DVD).

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 I PADRONI DELLA CITTA, FERNANDO DI LEO, 1976 (BLU-RAY).

IL BOSS, FERNANDO DI LEO, 1973 (BLU-RAY).

IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L'OUEST, SERGIO LEONE, 1968 (DVD).

 IL ÉTAIT UNE FOIS LA RÉVOLUTION, SERGIO LEONE, 1971 (DVD).

IL ÉTAIT UNE FOIS EN AMÉRIQUE, SERGIO LEONE, 1982 (BLU-RAY).

IL ÉTAIT UNE FOIS EN CHINE, TSUI HARK, 1991 (DVD).

IL ÉTAIT UNE FOIS EN CHINE 2 : LA SECTE DU LOTUS BLANC, TSUI HARK, 1992 (DVD).

IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN, STEVEN SPIELBERG, 1998 (DVD).

 INCEPTION, CHRISTOPHER, 2010 (BLU-RAY).

INFERNO, DARIO ARGENTO, 1980 (DVD).

INGLORIOUS BASTARDS, ENZO G. CASTELLARI, 1978 (DVD).

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INLAND EMPIRE, DAVID LYNCH, 2006 (DVD).

INTOLERABLE CRUELTY, JOEL & ETHAN COEN, 2008 (BLU-RAY).

 INTO THE WILD, SEAN PENN, 2008 (BLU-RAY).

IRON MONKEY, YUEN WOO-PING, 1993 (DVD).

IRRÉVERSIBLE, GASPAR NOÉ, 2002 (DVD).

I SPIT ON YOUR GRAVE, MEIR ZARCHI, 1978 (DVD).

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 JACOB'S LADDER, ADRIAN LYNE, 1990 (BLU-RAY).

JAWS, STEVEN SPIELBERG, 1975 (DVD).

JOE KIDD, JOHN STURGES, 1972 (DVD).

 JUGATSU, TAKESHI KITANO, 1990 (DVD).

JURASSIC PARK, STEVEN SPIELBERG, 1993 (DVD).

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 KEOMA, ENZO G. CASTELLARI, 1976 (DVD).

 KIKI LA PETITE SORCIERE, HAYAO MIYAZAKI, 1989 (DVD).

 KIDS RETURN, TAKESHI KITANO, 1996 (DVD).

 KILL BILL VOL. 1, QUENTIN TARANTINO, 2003 (DVD).

 KILL BILL VOL. 2, EQUENTIN TARANTINO, 2004 (DVD).

 KILL LIST, BEN WHEATLEY, 2011 (DVD).

 KING KONG, PETER JACKSON, 2005 (DVD).

KISS KISS BANG BANG, SHANE BLACK, 2005 (DVD).

 KOYAANISQATSI, GODFREY REGGIO, 1982 (DVD).

 KWAÏDAN, MASAKI KOBAYASHI, 1964 (DVD).

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L'ÉTÉ DE KIKUJIRO, TAKESHI KITANO, 1999 (DVD).

L'ÂGE D'OR, LUIS BUNUEL, 1930 (BLU-RAY).

L'ÎLE NUE, KANETO SHINDÔ, 1960 (DVD).

L'EMMURÉE VIVANTE, LUCIO FULCI, 1977 (DVD).

L'ENFER DES ARMES, TSUI HARK, 1980 (DVD).

L'ENNEMI INTIME, FLORENT EMILIO-SIRI, 2007 (BLU-RAY).

L'HIRONDELLE D'OR, KING HU, 1966 (DVD).

L'IMMORTEL, RICHARD BERRY, 2010 (DVD).

L'ANGE ROUGE, YASUZO MASUMURA, 1966 (DVD).

L'ARMÉE DES OMBRES, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1969 (DVD).

L'AU-DELA, LUCIO FULCI, 1981 (DVD).

L'ÉNIGME DE KASPAR HAUSER, WERNER HERZOG, 1974 (DVD).

L'ÉVENTREUR DE NEW YORK, LUCIO FULCI, 1981 (DVD).

L'ENFER DES ZOMBIES, LUCIO FULCI, 1979 (DVD).

LA MALA ORDINA, FERNANDO DI LEO, 1972 (BLU-RAY).

LA BALLADE DE BRUNO, WERNER HERZOG, 1977 (DVD).

L'OISEAU AU PLUMAGE DE CRISTAL, DARIO ARGENTO, 1971 (DVD).

LA BÊTE AVEUGLE, YASUZO MASUMURA, 1969 (DVD).

LA CITÉ DE DIEU, FERNANDO MEIRELLES, 2002 (BLU-RAY).

LA FEMME SCORPION, SHUNYA ITO, 1972 (DVD).

LA FIN DE MR. VAMPIRE, RICKY LAU, 1988 (DVD).

LA LAME DIABOLIQUE, KENJI MISUMI, 1965 (DVD).

LA LÉGENDE DES HUIT SAMOURAÏS, KINJI FUKASAKU, 1983 (DVD).

LA MÉLODIE DE LA RANCUNE, YASUHARU HASEBE, 1973 (DVD).

LA MONTAGNE SACRÉE, ALEJANDRO JODOROWSKY, 1973 (DVD).

LA NOUVELLE FEMME SCORPION - PRISONNIERE N°701, YUTAKA KOHIRA, 1976 (DVD).

LA NOUVELLE FEMME SCORPION - CACHOT X, YUTAKA KOHIRA, 1977 (DVD).

LA RAGE DU TIGRE, CHANG CHEH, 1971 (DVD).

LA TANIERE DE LA BÊTE, SHUNYA ITO, 1973 (DVD).

LA SECTE SANS NOM, JAUME BALAGUERO, 1999 (DVD).

LADY SNOWBLOOD, TOSHIYA FUJITA, 1973 (BLU-RAY).

LADY SNOWBLOOD 2 : LOVE SONG OF VENGEANCE, TOSHIYA FUJITA, 1974 (BLU-RAY).

LAST ACTION HERO, JOHN McTIERNAN, 1993 (DVD).

LÉON, LUC BESSON, 1994 (DVD).

LÉON MORIN, PRÊTRE, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1961 (DVD).

LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND, SERGIO LEONE, 1966 (DVD).

LE BRAS ARMÉ DE LA LOI, JOHNNY MAK, 1984 (DVD).

LE BRAS ARMÉ DE LA LOI 2, MICHAEL MAK, 1987 (DVD).

LE BRAS DE LA VENGEANCE, CHANG CHEH, 1969 (DVD).

LE CERCLE ROUGE, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1970 (DVD).

LE CHAT A NEUF QUEUES, DARIO ARGENTO, 1971 (DVD).

LE CHÂTEAU DANS LE CIEL, HAYAO MIYAZAKI, 1986 (DVD).

LE CLAN DES SICILIENS, HENRI VERNEUIL, 1969 (DVD).

LE COMBAT DES MAÎTRES, LIU CHIA-LIANG, 1976 (DVD).

LE DOULOS, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1963 (DVD).

LE GRAND SILENCE, SERGIO CORBUCCI, 1968 (DVD).

LE LABYRINTHE DE PAN, GUILLERMO DEL TORO, 2006 (DVD).

LE MAÎTRE D'ARMES, RONNY YU, 2006 (DVD).

LE NOM DE LA ROSE, JEAN-JACQUES ANNAUD, 1986 (DVD).

LE RETOUR DE MR. VAMPIRE, RICKY LAU, 1986 (DVD).

LE SABRE, KENJI MISUMI, 1964 (DVD).

LE SAMOURAÏ ET LE SHOGUN, KINJI FUKASAKU, 1978 (DVD).

LE SYNDICAT DU CRIME, JOHN WOO, 1986 (DVD).

LE SYNDICAT DU CRIME II, JOHN WOO, 1987 (DVD).

LE SYNDICAT DU CRIME III, TSUI HARK, 1989 (DVD).

LE TEMPLE DU LOTUS ROUGE, RINGO LAM, 1994 (DVD).

LES DIABOLIQUES, HENRI-GEORGES CLOUZOT, 1954 (DVD).

LES FRISSONS DE L'ANGOISSE, DARIO ARGENTO, 1975 (DVD).

LES NAINS AUSSI ONT COMMENCÉ PETIT, WERNER HERZOG, 1970 (DVD).

LES SEPT SAMOURAÏS, AKIRA KUROSAWA, 1954 (DVD).

LES YEUX SANS VISAGE, GEORGES FRANJU, 1960 (DVD).

LET THE RIGHT ONE IN, TOMAS ALFREDSON, 2007 (DVD).

L'EXORCISTE CHINOIS, SAMMO HUNG, 1980 (DVD).

L'EXORCISTE CHINOIS 2, RICKY LAU, 1990 (DVD).

LIVE FREE OR DIE HARD, LEN WISEMAN, 2007 (DVD).

LOLITA, STANLEY KUBRICK, 1962 (BLU-RAY).

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 MIDNIGHT COWBOY, JOHN SCHLESINGER, 1969 (BLU-RAY).

 MAD MAX 2 : THE ROAD WARRIOR, GEORGE MILLER, 1981 (DVD).

 MAGNUM FORCE, TED POST, 1973 (DVD).

MAJOR DUNDEE, SAM PECKINPAH, 1964 (DVD).

 MALLRATS, KEVIN SMITH, 1995 (DVD).

MANHUNTER, MICHAEL MANN, 1986 (DVD).

MAN ON FIRE, TONY SCOTT, 2004 (DVD).

MARATHON MAN, JOHN SCHLESINGER, 1976 (DVD).

MARNIE, ALFRED HITCHCOCK, 1964 (DVD).

 MATRIX, ANDY & LANA WACHOWSKI, 1999 (DVD).

MATRIX RELOADED, ANDY & LANA WACHOWSKI, 2003 (DVD).

MATRIX REVOLUTIONS, ANDY & LANA WACHOWSKI, 2003 (DVD).

 MEET THE FEEBLES, PETER JACKSON, 1989 (DVD).

MÉLODIE EN SOUS-SOL, HENRI VERNEUIL, 1963 (DVD).

MEAN STREETS, MARTIN SCORSESE, 1973 (DVD).

 MEMENTO, CHRISTOPHER NOLAN, 2000 (DVD).

MESRINE : L'INSTINCT DE MORT, JEAN-FRANCOIS RICHET, 2008 (BLU-RAY).

MESRINE : L'ENNEMI PUBLIC N° 1, JEAN-FRANCOIS RICHET, 2008 (DVD).

MILANO CALIBRO 9, FERNANDO DI LEO, 1972 (BLU-RAY).

 MILLION DOLLAR BABY, CLINT EASTWOOD, 2004 (DVD).

MINORITY REPORT, STEVEN SPIELBERG, 2002 (DVD).

MIRACLE FIGHTERS, YUEN WOO-PING, 1982 (DVD).

MIRRORMASK, DAVE McKEAN, 2005 (BLU-RAY).

MISSION TO MARS, BRIAN DE PALMA, 2002 (DVD).

MON ONCLE, JACQUES TATI, 1958 (DVD).

MR73, OLIVIER MARCHAL, 2008 (DVD).

MR. VAMPIRE, RICKY LAU, 1985 (DVD).

MR. VAMPIRE ET LES DÉMONS DE L'ENFER, RICKY LAU, 1987 (DVD).

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MUNICH, STEVEN SPIELBERG, 2005 (DVD).

MURDER, MY SWEET, EDWARD DMYTRYCK, 1944 (DVD).

MYSTIC RIVER, CLINT EASTWOOD, 2003 (BLU-RAY).

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 NAUSICAÄ DE LA VALLÉE DU VENT, HAYAO MIYAZAKI, 1984 (DVD).

NEAR DARK, KATHRYN BIGELOW, 1987 (DVD).

NE NOUS JUGEZ PAS, JORGE MICHEL GRAU, 2007 (DVD).

NEW YORK, NEW YORK, MARTIN SCORSESE, 1977 (DVD).

NIGHT OF THE LIVING DEAD, GEORGE A. ROMERO, 1968 (DVD).

NOSFERATU - FANTÔME DE LA NUIT, WERNER HERZOG, 1979 (DVD).

NOTORIOUS, ALFRED HITCHCOCK, 1946 (DVD).

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 OLD BOY, PARK CHAN-WOOK, 2003 (DVD).

ONE FLEW OVER THE CUCKOO'S NEST, MILOS FORMAN, 1975 (DVD).

OUT OF THE PAST, JACQUES TOURNEUR, 1947 (DVD).

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PALE RIDER, CLINT EASTWOOD, 1985 (DVD).

PAPILLON, FRANKLIN J. SCHAFFNER, 1973 (DVD).

PAT GARRETT AND BILLY THE KID, SAM PECKINPAH, 1973 (DVD).

PARANORMAL, SAM FELL, 2012 (DVD).

PAYBACK, BRIAN HELGELAND, 1999 (DVD).

PAYCHECK, JOHN WOO, 2002 (DVD).

PEDICAB DRIVER, SAMMO HUNG, 1989 (AUTRE).

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PLATOON, OLIVER STONE, 1986 (BLU-RAY).

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POWAQQATSI, GODFREY REGGIO, 1988 (DVD).

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PREDATOR 2, STEPHEN HOPKINS, 1990 (DVD).

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PSYCHO, ALFRED HITCHCOCK, 1960 (DVD).

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RAN, AKIRA KUROSAWA, 1985 (BLU-RAY).

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REBECCA, ALFRED HITCHCOCK, 1940 (DVD).

REC, JAUME BALAGUERO, 2007 (DVD).

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ROCKY, JOHN G. AVILDSEN, 1976 (DVD).

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ROCKY III : EYE OF THE TIGER, SYLVESTER STALLONE, 1982 (DVD).

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ROCKY BALBOA, SYLVESTER STALLONE, 2006 (DVD).

ROGUE, GREG McLEAN, 2007 (DVD).

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RUE DE LA VIOLENCE, SERGIO MARTINO, 1973 (DVD).

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 . . . S . . .

SABOTEUR, ALFRED HITCHCOCK, 1942 (DVD).

 SALO OU LES 120 JOURNÉES DE SODOME, PIER PAOLO PASOLINI, 1975 (BLU-RAY).

 SANTA SANGRE, ALEJANDRO JODOROWSKY, 1989 (DVD).

 SCANNERS, DAVID CRONENBERG, 1981 (DVD).

 SCARFACE, BRIAN DE PALMA, 1983 (BLU-RAY).

SCHOOL ON FIRE, RINGO LAM, 1988 (AUTRE).

 SCOTT PILGRIM VS THE WORLD, EDGAR WRIGHT, 2010 (BLU-RAY).

SEUL CONTRE TOUS, GASPAR NOÉ, 1998 (DVD).

 SEVEN, DAVID FINCHER, 1995 (DVD).

SEVEN SWORDS, TSUI HARK, 2005 (DVD).

SEX AND FURY, NORIFUMI SUZUKI, 1973 (DVD).

SHADOW OF A DOUBT, ALFRED HITCHCOCK, 1943 (DVD).

 SHANGHAI BLUES, TSUI HARK, 1984 (DVD).

SHAOLIN SOCCER, STEPHEN CHOW, 2001 (DVD).

SHAUN OF THE DEAD, EDGAR WRIGHT, 2004 (DVD).

SHOGUN ASSASSIN, ROBERT HOUSTON, 1980 (DVD).

 SHUTTER ISLAND, MARTIN SCORSESE, 2010 (DVD).

SIN CITY, ROBERT RODRIGUEZ, 2005 (DVD).

SMOKIN'ACES, JOE CARNAHAN, 2006 (DVD).

SNOW WHITE AND THE HUNSTMAN, RUPERT SANDERS, 2012 (BLU-RAY).

SONATINE, TAKESHI KITANO, 1993 (DVD).

SPETTERS, PAUL VERHOEVEN, 1980 (DVD).

SPIDER-MAN, SAM RAIMI, 2002 (DVD).

SPIDER-MAN 2, SAM RAIMI, 2004 (DVD).

SPL, WILSON YIP, 2005 (DVD).

STAND BY ME, ROB REINER, 1986 (DVD).

STANLEY KUBRICK : A LIFE IN PICTURES, JAN HARLAN, 2001 (BLU-RAY).

STAR WARS : A NEW HOPE, GEORGE LUCAS, 1977 (DVD).

STAR WARS : THE EMPIRE STRIKES BACK, IRVIN KERSHNER, 1980 (DVD).

STAR WARS : THE RETURN OF THE JEDI, RICHARD MARQUAND, 1983 (DVD).

STRAW DOGS, SAM PECKINPAH, 1971 (DVD).

STREET LAW, ENZO G. CASTELLARI, 1974 (DVD).

SUDDEN IMPACT, CLINT EASTWOOD, 1983 (DVD).

SUGARLAND EXPRESS, STEVEN SPIELBERG, 1974 (DVD).

SUICIDE CLUB, SION SONO, 2002 (DVD).

SUSPIRIA, DARIO ARGENTO, 1977 (DVD).

SYMPATHY FOR MISTER VENGEANCE, PARK CHAN-WOOK, 2002 (DVD).

SYMPATHY FOR LADY VENGEANCE, PARK CHAN-WOOK, 2005 (DVD).

SWORDSMAN, TSUI HARK, KING HU, ANN HUI, CHING SIU-TUNG, ANDREW KAM ET RAYMOND LEE, 1990 (DVD).

SWORDSMAN 2, CHING SIU-TUNG, 1992 (DVD).

SWORDSMAN 3 : THE EAST IS RED, CHING SIU-TUNG ET RAYMOND LEE, 1993 (DVD).

 . . . T . . .

TAI-CHI MASTER, YUEN WOO-PING, 1993 (BLU-RAY).

TAKEN, PIERRE MOREL, 2008 (DVD).

TAXI DRIVER, MARTIN SCORSESE, 1976 (BLU-RAY).

TERMINATOR, JAMES CAMERON, 1984 (DVD).

TERMINATOR 2 : JUDGEMENT DAY, JAMES CAMERON, 1991 (DVD).

TETSUO, SHINYA TSUKAMOTO, 1989 (DVD).

TETSUO II : BODY HAMMER, SHINYA TSUKAMOTO, 1992 (DVD).

THE ASSASSINATION OF JESSE JAMES BY THE COWARD ROBERT FORD, ANDREW DOMINIK, 2007 (BLU-RAY).

THE A-TEAM, JOE CARNAHAN, 2010 (BLU-RAY).

THE BEGUILED, DON SIEGEL, 1971 (DVD).

THE BIG LEBOWSKI, JOEL & ETHAN COEN, 1998 (BLU-RAY).

THE BIG STEAL, DON SIEGEL, 1949 (DVD).

THE BIRDS, ALFRED HITCHCOCK, 1963 (DVD).

THE BLADE, TSUI HARK, 1995 (DVD).

THE BLACK WINDMILL, DON SIEGEL, 1974 (DVD).

THE BLUE DAHLIA, GEORGE MARSHALL, 1946 (DVD).

THE BRIDGE ON RIVER KWAI, DAVID LEAN, 1954 (BLU-RAY).

THE BROOD, DAVID CRONENBERG, 1979 (DVD).

THE BUTTERFLY MURDERS, TSUI HARK, 1979 (DVD).

THE CHRONICLES OF RIDDICK, DAVID TWOHY, 2004 (DVD).

THE CONSTANT GARDENER, FERNANDO MEIRELLES, 2005 (DVD).

THE CROW, ALEX PROYAS, 1994 (DVD).

THE DAM BUSTERS, MICHAEL ANDERSON, 1955 (DVD).

THE DARK KNIGHT, CHRISTOPHER NOLAN, 2008 (BLU-RAY).

THE DAY THE EARTH STOOD STILL, ROBERT WISE, 1951 (DVD).

THE DEER HUNTER, MICHAEL CIMINO, 1978 (BLU-RAY).

THE DEPARTED, MARTIN SCORSESE, 2006 (DVD).

THE DEVILS, KEN RUSSELL, 1971 (DVD).

THE DEVIL'S REJECTS, ROB ZOMBIE, 2005 (BLU-RAY).

THE DRIVER, WALTER HILL, 1978 (DVD).

THE EIGER SANCTION, CLINT EASTWOOD, 1975 (DVD).

THE EXORCIST, WILLIAM FRIEDKIN, 1973 (DVD).

THE FLY, DAVID CRONENBERG, 1986 (DVD).

THE FOG, JOHN CARPENTER, 1980 (DVD).

THE FRENCH CONNECTION, WILLIAM FRIEDKIN, 1971 (DVD).

THE FUNERAL, ABEL FERRARA, 1996 (DVD).

THE FUNHOUSE, TOBE HOOPER, 1981 (DVD).

THE GAME, DAVID FINCHER, 1997 (DVD).

THE GAUNTLET, CLINT EASTWOOD, 1977 (BLU-RAY).

THE GETAWAY, SAM PECKINPAH, 1972 (DVD).

THE GLASS KEY, STUART HEISLER, 1942 (DVD).

THE GODFATHER, FRANCIS FORD COPPOLA, 1972 (BLU-RAY).

THE GODFATHER, PART II, FRANCIS FORD COPPOLA, 1974 (BLU-RAY).

THE GODFATHER, PART III, FRANCIS FORD COPPOLA, 1990 (BLU-RAY).

THE GREEN MILE, FRANK DARABONT, 1999 (BLU-RAY).

THE GREY, JOE CARNAHAN, 2012 (BLU-RAY).

THE GOOD SHEPHERD, ROBERT DE NIRO, 2007 (DVD).

THE HILLS HAVE EYES, ALEXANDRE AJA, 2005 (BLU-RAY).

THE HILLS HAVE EYES 2, MARTIN WEISZ, 2007 (DVD).

THE HOUSE OF THE DEVIL, TI WEST, 2009 (BLU-RAY).

THE HUNT FOR RED OCTOBER, JOHN McTIERNAN, 1990 (BLU-RAY).

THE IDES OF MARCH, GEORGE CLOONEY, 2011 (BLU-RAY).

THE INSIDER, MICHAEL MANN, 1999 (DVD).

THE KILLER, JOHN WOO, 1989 (DVD).

THE KILLERS, ROBERT SIODMAK, 1946 (DVD).

THE LAST BOY SCOUT,TONY SCOTT, 1991 (DVD).

THE LAST HOUSE ON THE LEFT, WES CRAVEN, 1972 (DVD).

THE LAST HOUSE ON THE LEFT, DENNIS ILLIADIS, 2008 (BLU-RAY).

THE LAST OF THE MOHICANS, MICHAEL MANN, 1992 (DVD).

THE LETHAL WEAPON, RICHARD DONNER, 1990 (DVD).

THE LORD OF THE RINGS : THE FELLOWSHIP OF THE RING, PETER JACKSON, 2001 (DVD & BLU-RAY).

THE LORD OF THE RINGS : THE TWO TOWERS, PETER JACKSON, 2002 (DVD & BLU-RAY).

THE LORD OF THE RINGS : THE RETURN OF THE KING, PETER JACKSON, 2003 (DVD & BLU-RAY).

THE LOVELY BONES, PETER JACKSON, 2009 (DVD).

THE LOVERS, TSUI HARK, 1994 (DVD).

THE MANSON FAMILY, JIM VAN BEBBER, 2003 (DVD).

THE MAN WHO KNEW TOO MUCH, ALFRED HITCHCOCK, 1956 (DVD).

THE MISSION, ROLAND JOFFÉ, 1986 (BLU-RAY).

THE NAKED LUNCH, DAVID CRONENBERG, 1991 (DVD).

THE NEW WORLD, TERRENCE MALICK, 2005 (DVD).

THE NINTH GATE, ROMAN POLANSKI, 1999 (DVD).

THE PLEDGE, SEAN PENN, 2001 (DVD).

THE PRESTIGE, CHRISTOPHER NOLAN, 2006 (DVD).

THE RED RIDING TRILOGY : IN THE YEAR OF OUR LORD 1974, JULIAN JARROLD, 2009 (DVD).

THE RED RIDING TRILOGY : IN THE YEAR OF OUR LORD 1980, JAMES MARSH, 2009 (DVD).

THE RED RIDING TRILOGY : IN THE YEAR OF OUR LORD 1983, ANAND TUCKER, 2009 (DVD).

THE RETURN OF THE LIVING DEAD, DAN O'BANNON, 1985 (DVD).

THE ROCKY HORROR PICTURE SHOW, JIM SHARMAN, 1975 (DVD).

THE SCHINDLER'S LIST, STEVEN SPIELBERG, 1993 (DVD).

THE SEARCHERS, JOHN FORD, 1956 (BLU-RAY).

THE SHAWSHANK REDEMPTION, FRANK DARABONT, 1994 (DVD).

THE SHINING, STANLEY KUBRICK, 1980 (BLU-RAY).

THE SHOOTIST, DON SIEGEL, 1976 (DVD).

THE SKYHAWK, CHANG-HWA JEONG, 1974 (DVD).

THE SWORD, PATRICK TAM, 1980 (DVD).

THE TEXAS CHAINSAW MASSACRE, TOBE HOOPER, 1974 (BLU-RAY).

THE THIN RED LINE, TERRENCE MALICK, 1999 (DVD).

THE THING, JOHN CARPENTER, 1982 (BLU-RAY).

THE THING, MATTHIJS VAN HEIJNINGEN JR, 2011 (BLU-RAY).

THE THOMAS CROWN AFFAIRE, JOHN McTIERNAN, 1999 (DVD).

THE TREE OF LIFE, TERRENCE MALICK, 2010 (BLU-RAY).

THE TROUBLE WITH HARRY, ALFRED HITCHCOCK, 1955 (DVD).

THE UNTOUCHABLES, BRIAN DE PALMA, 1987 (DVD).

THE WARRIORS, WALTER HILL, 1979 (BLU-RAY).

THE WARRIOR'S WAY, SNGMOO LEE, 2010 (BLU-RAY).

THE WAY BACK, PETER WEIR, 2010 (BLU-RAY).

THE WILD BUNCH, SAM PECKINPAH, 1969 (DVD).

THERE WILL BE BLOOD, PAUL THOMAS ANDERSON, 2007 (DVD).

THIRST, PARK CHAN-WOOK, 2009 (BLU-RAY).

THIS GUN FOR HIRE, FRANK TUTTLE, 1942 (DVD).

TIME AND TIDE, TSUI HARK, 2000 (DVD).

TOKYO FIST, SHINYA TSUKAMOTO, 1995 (DVD).

TO LIVE AND DIE IN L.A., WILLIAM FRIEDKIN, 1985 (BLU-RAY).

TOOLBOX MURDERS, TOBE HOOPER, 2004 (DVD).

TOPAZ, ALFRED HITCHCOCK, 1969 (DVD).

TORN CURTAIN, ALFRED HITCHCOCK, 1966 (DVD).

TOTAL RECALL, PAUL VERHOEVEN, 1990 (DVD).

TREMORS, RON UNDERWOOD, 1990 (DVD).

TUER, KENJI MISUMI, 1962 (DVD).

TWELVE MONKEYS, TERRY GILLIAM, 1997 (DVD).

TWIN PEAKS : FIRE WALK WITH ME, DAVID LYNCH, 1991 (DVD).

TWO MULES FOR SISTER SARA, DON SIEGEL, 1969 (DVD).

 . . . U . . .

UN CHIEN ANDALOU, LUIS BUNUEL, 1929 (BLU-RAY).

UNDECLARED WAR, RINGO LAM, 1990 (DVD).

UN FLIC, JEAN-PIERRE MELVILLE, 1972 (DVD).

UNFORGIVEN, CLINT EASTWOOD, 1992 (DVD).

UN PROPHETE, JACQUES AUDIARD, 2009 (DVD).

UN SEUL BRAS LES TUA TOUS, CHANG CHEH, 1967 (DVD).

UN SINGE EN HIVER, HENRI VERNEUIL, 1962 (DVD).

UNE BALLE DANS LA TÊTE, JOHN WOO, 1990 (DVD).

 . . . V . . .

 VENGEANCE!, CHANG CHEH, 1970 (DVD).

VERTIGO, ALFRED HITCHCOCK, 1958 (DVD).

VIDEODROME, DAVID CRONENBERG, 1983 (BLU-RAY).

VIGILANTE, WILLIAM LUSTIG, 1983 (DVD).

VINYAN, FABRICE DU WELZ, 2008 (DVD).

VIOLENT COP, TAKESHI KITANO, 1989 (DVD).

. . . W . . .

WE OWN THE NIGHT, JAMES GRAY, 2007 (BLU-RAY).

WHITE NOISE 2 : THE LIGHT, PATRICK LUSSIER, 2007 (DVD).

WILD AT HEART, DAVID LYNCH, 1990 (DVD).

WITCHFINDER GENERAL, MICHAEL REEVES, 1968 (DVD).

WITHNAIL AND I, BRUCE ROBINSON, 1987 (DVD).

WOLF CREEK, GREG McLEAN, 2005 (DVD).

WOYZECK, WERNER HERZOG, 1979 (DVD).

. . . X . . .

X-MEN, BRYAN SINGER, 2000 (DVD).

X2, BRYAN SINGER, 2003 (DVD).

X-MEN : THE LAST STAND, BRETT RATNER, 2005 (DVD).

 . . . Y . . .

 ...

. . . Z . . .

 ZATÔICHI, TAKESHI KITANO, 2003 (DVD).

 ZU, LES GUERRIERS DE LA MONTAGNE MAGIQUE, TSUI HARK, 1982 (DVD).

 (En rouge, mes films préférés)

26 novembre 2008

FEMALE YAKUZA TALE [GALERIE]

RÉALISÉ ET ÉCRIT PAR TERUO ISHII EN 1973.
AVEC REIKO IKE.

OCHO INOSHIKA EST ACCIDENTELLEMENT CAPTURÉE PAR UN GANG DE YAKUZAS QUI, RÉALISANT LEUR ERREUR, TENTENT DE LA FAIRE ARRÊTER POUR MEURTRE. MAIS CELLE-CI S'EN SORT ET A SOIF DE VENGEANCE...

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23 novembre 2007

SUSPIRIA [GALERIE]

25 juin 2007

LADY SNOWBLOOD [GALERIE]

RÉALISÉ PAR TOSHIYA FUJITA EN 1973.
ÉCRIT PAR NORIO ASADA A PARTIR D'UNE OEUVRE DE KAZUO KAMIMURA ET KAZUO KOIKE.
AVEC MEIKO KAJI ET TOSHIO KUROSAWA.
MUSIQUE COMPOSÉE PAR MASAAKI HIRAO.

UNE JEUNE FILLE EST ÉLEVÉE DEPUIS LA NAISSANCE POUR VENGER SA MERE.

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16 février 2010

TETSUO [GALERIE]

RÉALISÉ ET ÉCRIT PAR SHINYA TSUKAMOTO EN 1989.
AVEC TOMOROH TAGUCHI ET SHINYA TSUKAMOTO.
MUSIQUE COMPOSÉE PAR CHU ISHIKAWA.

UN HOMME SE TRANSFORME MYSTÉRIEUSEMENT EN MONSTRE MÉTALLIQUE.

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18 novembre 2006

SEX AND FURY [GALERIE]

RÉALISÉ ET ÉCRIT PAR NORIFUMI SUZUKI EN 1973.
AVEC REIKO IKE ET CHRISTINA LINDBERG.
MUSIQUE COMPOSÉE PAR ICHIRÔ ARAKI.

OCHO INOSHIKA, UNE FLAMBEUSE, S'ASSOCIE A UN ANARCHISTE POUR VENGER LA MORT DE SON PERE.

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26 février 2011

PROBLEMES TECHNIQUES

Tout est dans le titre... Je sais pas ce qui se passe avec mon blog mais impossible de rien foutre, bref, j'avais prévu un article sur ce soir, c'est foutu, j'arrive pas à poster une photo ou à foutre une musique sans que tout déconne.... Ca attendra, désolé chers lecteurs!

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